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Vous vous êtes réveillé ici sans savoir comment. On vous à simplement dit c'est comme ça, et vous n'avez rien put faire.
 
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 teste sur 44217 R | Elisabeth

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James Laurens
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James Laurens


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MessageSujet: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeDim 13 Déc - 22:33

L'homme était posé derrière son bureau. Tenant un stylo dans la main, il ne cessait d'écrire des mots, des chiffres, des signes qui assemblé les uns au autre ne ressemblait à rien pour la plus part des gens, mais qui, pour lui avait un sens. Au coin de ses lèvres, si on observait bien, on pouvait déceler un sourire, malgrés que son regard reste froid comme à son habitude. Au bout de quelques heures, alors que la nuit était déjà bien entamer, il lacha le stylo, et poussant contre le bureau, fit glisser la chaise à roulette jusqu'a la fenetre. De là, il observa la lune, se perdant dans ses pensées. Il se revoyait, un an plus tôt, le long de cette rivière. Il revoyait les épaix nuage dans le ciel, annonciateur de la pluie. En fermant les yeux, il réussissait presque à sentir la chaleur de sa Belle dans sa main, et sa tête contre son épaule. Ce que se souvenir lui faisait du mal, et du bien à la fois. Comment cela était il possible? Pourquoi était elle morte? Il ne comprenait pas pourquoi le sort s'était acharné sur lui avec tant de hargne. Alors qu'il n'avait jamais fait de mal. Son poing se serra, et sa machoir se crispa tant cela lui faisait mal, l'écoeurer de se dire que lui, il avait tout perdu, alors que des salops tuaient des innocents dans la rue et avait des gamins qu'ils délaissaient.

Lorsque qu'enfin, il reprit ses esprit, et sortie de ses pensées. Il se leva, s'épousta, et se replça devant son bureau. Il balaya 'un regard les notes qu'il avait prit. Fiert de lui. Peut être qu'enfin, il aurait trouver le moyen de forcer les élèves à faire ce qu'ils disait. Si seulement sa machine marchait, il pourrait enfin dormir tranquillement la nuit, se dire qu'il n'existerait jamais une deuxième "Marie" et qu'aucun de ses adolescents ne pourraient tuer. Il tenait dans ses mains, le plan pour crée un bracelet, qui serrait capable d'empêcher le portant d'utilisé son don, sauf si l'Armée le voulait. Il devait réussir! Il le devait!

_Ann, pouvez vous m'appelez 44217R s'il vous plait,
demanda James d'une voix froide, assis derrière sa chaise alors que la vieille femme était dans la pièce d'à côté.
_Auriez vous son nom? S'il vous plait?

James ne put s'empêcher de levez les yeux au ciel. Son nom? Avait il besoins de connaître le nom d'animal tel que eux. Il n'était rien que des expériences pour lui, et il les haissait tellement qu'il ne s'écarcherait pas la bouche à prononcer leur vrai nom, cela les humaniseraient trop à son goût, alors qu'ils étaient tous capable de tuer d'une pensée.

_Comment saurais je leur nom? Répliqua t-il froidement.

La vieille femme ne dit, rien, et partie chercher la fille sans demandé son reste. James se leva de son bureau et approcha d'une chaise, qui n'en était pas vraiment une. Elle s'apparentait plus à une machine de torture. Elle était tout en métal, avec des acoudoirs d'environs 15cm de larges d'où sortaient des sangles. Elle n'avait pas quatres pieds séparer, mais un seul qui formait un carré sur lequel s'assayer la personne. Et sur l'une des face, au niveau des pieds, sortait de nouveau des sangles. Ils frola l'objet, souriant. Et jeta un regard au bracelet qui tronait sur une table un peu plus loin. Dans sa tête résonait le mot "vengeance".


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Elisabeth A. Stefan
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeLun 14 Déc - 23:08

J'étais tranquillement allongée dans mon lit, les genoux pliés, la jambe droite croisée scrutant le mur avec attention, comme si je cherchais une faille, un trou aussi petit soit-il qui pourrait me permettre de m'échapper, comme d'habitude mon esprit était plein à craquer, en plus de ça une chanson triste flottait dans ma tête, je m'en souvenait, ma mère l'écoutait souvent, je ferma les yeux, les mains posés sur mon ventre, mes cheveux avaient encore les pointes mouillées à cause de la douche que je venais de prendre, je me remémora entièrement la chanson dans la tête, elle était si belle, je passa des strophes au refrain, une fois, deux fois, et trois, aux dernières notes que je me passa dans la tête je poussait un long soupire qui immédiatement me ramena à un autre souvenir, c'était une salle de classe, j'étais au premier rang, écrasée contre la fenêtre et le mur bleu toilette comme je l'avais toujours dit, enfin, j'étais plutôt affalée contre, c'était un cours de langue, avec un prof que je n'aimais pas particulièrement qui passait des heures à nous poser des questions sommaires sur des livres simples comme "Bonjour" heureusement, je m'étais assise à côté d'une amie à moi, on disctutait parfois ensemble... de toute façon le prof était sourd comme un pot, elle me disait toujours qu'il fallait que j'ai un petit copain, que je ne devais pas rester seule, ce jour là, j'étais plutôt concentrée sur la fiche d'exercice comparé à d'habitude ou j'avais toujours le nez en l'air à la recherche d'un ragot croustillant sur le quel je pourrais rire pendant une bonne demi-heure, pas méchamment, juste pour m'amuser ! Pas ce jour là, tout à coup, ma voisine et amie avait poussé un petit << Oh ! >> Suivit d'un << Tu vas pouvoir faire un vœux ! >> Elle avait alors enlevé de ma joue un de mes cil qu'elle avait posé dans ma main, << Souffle et pense très fort à quelques chose que tu voudrais. >> J'avais immédiatement obtempérer puis je lui avait souris en affirmant satisfaite : << C'est fait. >> et elle avait dit << J'espère que tu as fait le bon vœux... Surtout ne me dis rien, je ne veux pas savoir. >> Elle m'avait fait un clin d'œil et j'avais retourné la tête vers ma feuille.
Trois coup frappés à ma porte me firent sursauter, je me redressa, la porte s'ouvrit, une femme apparut, je l'avais déjà vue, mon cœur accéléra.

- Bonsoir, veuillez me suivre 44217 R.


Je me leva, dans ses cas là, il valait mieux obtempérer et rapidement. On sortis de ma chambre, je sentais mon cœur battre à tout rompre, cherchant la faute que j'aurais commise dernièrement, je n'en trouvais pas. Nous marchions dans les couloirs, je me doutais que cette femme était une secrétaire, celle d'un scientifique, à ce moment là, je me serais volontier tirer une balle plutôt que de me préparer à la nuit qui allait suivre. J'allais souffrir, terriblement même, je ne cessais plus de frissonner d'horreur, j'avais même des spasmes et des raté dans mon cœur, marcher était difficile, le stresse emplissait mon corps. Et dire que la nuit avait si bien commencé, pourquoi fallait-il que ce soir je soit le fruit d'une expérience, peut-être allais-je mourir? La femme s'arrêta devant une porte en chêne sombre, elle toqua comme quelques minutes avant et entra, je n'avais rien vue de notre voyage entre la chambre et les labo'. On entra, je manquais de tomber dans les pommes.


Dernière édition par Elisabeth A. Stefan le Mar 15 Déc - 0:07, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeMar 15 Déc - 0:04

L'homme continuait de patienter en attendant l'élève. Ses doigts fins pionotaient contre la chaise en métal instrument de torture destiner à la jeune fille qui entrerait prochainement. Un sourire était incrusté sur ses lèvres, il ne pouvait s'en défaire, savourant une victoire qu'il considéré déjà comme acquise. Bien sur, il pousserait tout de même la fille à bout. Pour se venger de celle qui avait tuer celle qui l'aimait. Il allait la faire pleurer, imploré sa clémence, tout ça sous ses " aller un petit éffort 44217, on y est presque!" d'une voix douce, presque paternelle, mais tout bonnement ironique et agaçante. La femme toqua, et ouvrit doucement la porte, elle passa sa tête et dit d'une voix calme et poser:

_Voila l'élève que vous attendiez.
_Bien.


La femme poussa la jeune fille dans la pièce, et referma la porte derrière elle. L'homme se plaça derrière son bureau, et s'assis. La jeune fille restait debout. Le fixant avec l'air hagard d'un animal s'en défense. Il sentait qu'elle avait peur, qu'elle voulait fuir, qu'elle savait qu'elle souffrirait, que cette journée resterait à jamais graver dans sa vie. Si elle savait... James croisa ses bras sur le bureau et commença calmement:

_Bonjour, 44217.Sais tu pourquoi tu es là?


Non, bien sur que non qu'elle ne savait pas. Pourquoi l'informer alors qu'elle n'était qu'une expérience comme les autres. Personne ne les prèvenaient avant qu'ils soient ficeler comme des animaux et qu'on leur pose des éléctrodes pour analyser leur réactions. Souvent d'ailleurs, leur réactions étaient violentes, tremblements, evanouissement, hurlement...bref. "Ce n'est rien comparé à ce qu'elle à vécu elle..." Songea James, sont regard se durciçant. Il pensait bien sur à la femme qu'il avait aimé plus que tout et qui était mort pas la folie d'un de ces adolescents monstrueux. Mais bon, personne ne pouvait savoir qu'elle conséquence aurait la guerre sur les générations futur. Ce n'était pas la fautes du gouvernement si certain être de la race humaine se transformait en montre...non.

_Nous allons faire quelques test, dit il en se levant. Veux tu bien te déshabillé

.Il attendit que la jeune fille s'éxécute, quand elle fut en sous vêtement, il s'approcha d'elle et saisi son poignée puis la tira jusqu'a la chaise, " assis" fut la seule chose qui lui dit, et l'air autoritaire qu'il prit lui montrait clairement qu'il n'accepterait aucun refus, et serait des plus sévère. Lorsqu'elle fut assise, il positionna bien ses bras sur les acoudoires et serra les sangles au niveau de ses poignets, puis fit de même avec ses james. 44217 était donc totalement soumise au désirt d'un homme près à tout pour venger celle qui l'aime. Bien sur, il ne falait pas croire qu'il tenterait de lui faire du mal, comme abuser d'elle, ou la frapper pour un rien. Non il se vengerait en trouvant le moyen d'empêcher qu'il y ai de nouvelle Marie sur cette terre. Et s'il devait faire souffrir...deux trois adolescents...pourquoi pas. Il s'éloigna, et saisi dans un tiroire des fils ainsi que des ventouses. Il les positionna au niveau de ses tempes, ainsi que son coeur, puis les relia à une grosse machine, qui bippait au même rythme que son coeur, et imprimer divers résultat.

_Nous allons commencé, dit il avec un air jovial qu'il ne put décement cacher.

Il sortie de la pièce, et ramena sur une petite table à roulette une espèce de grosse boite. Il la mit devant la jeune fille, et la fixa quelques instant. Puis, approchant de son bureau, pris le bracelet, son nouveau chef d'oeuvre, et le mis au poignée de la jeune fille. Il était en métal, fin, et lorsqu'on le clipsait, il fallait un code pour l'ouvrir. Lorsqu'il referma le bracelet, nous pûmes entendre un "CLip" et s'en suivi une espèce de décharge éléctrique d'une seconde qui parcouru le corps de la fille. Signe que l'objets avait commencé son effet.. Il saisi sa chaise roulante, et la mis devant la fille, s'assit et dit d'une voix presque douce, mais qui ne cachait en rien ses intentions.

_C'est simple. Ton don et que tu vois à travers les murs et objets. Moi je veux que tu vois se qu'il y a dans cette boite. Sauf que ce bracelet. T'en empêche. A toi de voir, maintenant.
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeMar 15 Déc - 0:32

Quand j'étais entrée, je l'avais encore vue, encore lui, toujours lui ! J'avais promis de me taire, de ne rien dire, d'être un gentil agneau, mais je ne m'étais pas attendue à voir cette bête là ! Un nouveau frisson, de dégout cette fois-ci, me parcourut. Je me tins cependant droite comme un pic. La femme me poussa à l'intérieur de la pièce, je ne broncha pas, j'étais en colère comme chaque fois, mais je ne devais pas le montrer, ils en serait encore plus hystériques plus euphoriques et cela en aurait été d'avantage plus dégoutant.

_Bonjour, 44217.Sais tu pourquoi tu es là?


Sa voix était douce, j'avais envie de lui cracher dessus toute ma haine. Bien sûr que je savais pourquoi j'étais là ! J'étais la pour assouvir une de leurs nouvelle soif de connaissance, j'étais la pour assouvir leurs pervers désirs de scientifiques, pour les faire bouillir de plaisir à la vue de ma souffrance, j'étais là pour tester un de leurs nouvel engin de guerre, pour donner de mon pouvoir malgré moi ou pour mourir comme une insignifiante, une moins que rien ! J'étais là pour et à cause de lui, de eux, de ses monstres là que je haïssait au plus profond de mon être et que j'aurais volontiers détruit si mon pouvoir avait été un pouvoir destructeur. Mais je choisit la voix de la raison, je ne répondis pas.

_Nous allons faire quelques testes. Veux tu bien te déshabillée?


Il se leva, je faillit grogner. Ses désirs étaient des ordres, pour moi ils étaient un supplice ! Je n'étais vêtue que d'un simple trenning et d'un tee-shirt bleu clair. Je ne voyait plus la femme, elle devait avoir disparut. Je n'hésitai pas longtemps avant d'enlever mes affaires, je n'étais pas pudique, ni exibitioniste, mais il m'énervait à un tel point que je n'en avais plus rien à faire, j'avais juste envie de le tuer. Je me retrouvai rapidement en sous-vêtements noires, je posa mes habits sur une chaise, prenant un peu mon temps, respirant comme si c'était mes derniers souffles, je préparais mon esprit à la douleur, au combat. Je n'eus pas le temps de bouger plus, déjà il m'attrapa au poignet et me jeta sans aucun scrupule sur l'étrange chaise qui ressemblait plus à un tas de ferraille sortis des enfers ! Il attacha autour de mes poignets des sangles, il les serra fort, je ne grimaça pas, mais je savais que cela ralentirais la circulation de mon sang dans mes mains, cela atténuerai peut-être ma douleur? Puis il m'attacha de la même manière les jambes et plaça sur tout mon corps des ventouses horribles qui collaient à ma peau telle des sangsues sur mes tempes et au niveau de mon cœur.

_Nous allons commencer.


Je frissonnai, le contacte de la chaise glaciale n'arrangeait rien, je pris une profonde respiration pour me détendre complètement. Je ferma les yeux un instant, quand je les rouvrit, il était là avec une grosse boite et il approchait dangereusement un objet de ma main, il l'accrocha dans un "clic" désagréable suivit d'une décharge qui traversa tout mon corps et disparut tout aussi rapidement, laissant derrière lui des petits picotement gênants et désagréables.

_C'est simple. Ton don et que tu vois à travers les murs et objets. Moi je veux que tu vois se qu'il y a dans cette boite. Sauf que ce bracelet. T'en empêche. A toi de voir, maintenant.


Je regardais la boite, d'abord normalement, laissant durer le suspense, j'avais peur, tellement peur de ne rien voir, qu'il ait raison et que j'ai perdue mon pouvoir à cause de cette chose autour de mon poignet. Je pris une profonde respiration... Puis une deuxième, je ferma les yeux et les rouvris sur la boite. Un étrange sentiment de soulagement me parcourut, je voyais à travers ! A l'intérieur de la boite grise, il y avait un velour pourpre, il semblait doux, et posé au milieu, comme un objet précieux, il y avait un collier avec une larme nacrée, il était beau. Je détournai rapidement le regard. Je n'osais rien dire. Peut-être pourrais-je lui faire croire que je n'avais rien vue. Je baissa alors le regard vers le bracelet, d'un œil accusateur. Je n'avais rien dit, rien laisser parraître, mais javais vue.
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeJeu 17 Déc - 20:47

L'homme venait de faire entrée la jeune fille dans son bureau. Il ne la connaissait pas vraiment, vaguement à cause de ses connaissances mais si peu pour ses propres mauvaises actions. Quand il lui demandé de se déshabiller, il s'attendait à un refus. Celui-ci ne vint pas et malgrés lui James fut déçut, il aurait aimé qu'elle refuse, qu'elle l'insulte, qu'il ai une bonne raison de la battre, de la faire souffrir comme il allait le faire. Car il savait se qu'il faisait. Il se rendait compte que parfois ses cris étaient injustifiés, mais la peine qui le rongeait ordonnait à se conscience de se taire et il hurler de plus belle. Parce qu'elle, elle n'avait pas eu le choix. Elle était morte d'une façon si atroce et horrible. Alors il se vengeait de la jeune fille qui l'avait tant fait souffrir, parce que sûrement que jamais il ne recroiserait sa route. Alors il renvoyait sur cette fille, et comme sur tout les autres adolescents qui entrerons dans se bureau la haine qu'il ne pouvait pas assouvir contre son véritable ennemi.

James lui tira le bras et la posa violement sur la chaise. Et une nouvelle fois, l'adolescente ne dit rien, le regardant avec un regard noir pour seul insulte. Il vit son corps frissoner, il était sûr que tout son corps, et même sa raison, lui ordonnait de fuir, qu'elle souffrirait plus que de raison. Mais elle n'avait aucune échapatoire et elle le savait sûrement, sinon pourquoi rester ici. Monstrueux ou pas, James savait que s'il avait été à sa place il aurait tout fait pour partir, car quand l'on est fou, pour nous, se sont les autres qui le sont, et même si de son point de vue, il fallait qu'ils restent ici, ils devaient pour la plus part rêver de fuir. James apposa le bracelet sur la jeune fille, et il fut parcouru par un frisson d'excitation. Sa vengeance serait enfin mis à bien, il pourrait refaire sa vie, partir d'ici, domir tranquille. Il attendait avec une impatience perverse les larmes de la fille, ses hurlements, ses gérémiades. "J'en peux plus je vous dit! J'en peux plus! Putin", oh oui il l'a voyait bien ainsi, tremblant de fatigues, quelques goûtes de sueur sur son front, et ses cheveux en bataille autours de son visage rouge.
Il lui expliqua brefement les règles. Elle devait avoir compris qu'aujourd'hui les choses ne seraient pas simple car il vit son visage se durcirent et ses yeux se plisser sur la boite. Soudain, elle ferma les yeux, et il la fixait avec beaucoup de curiosité. Tout son corps était tendu quand elle les réouvrit, et lorsque qu'il vis ses muscles se détendre, il compris que j'avait rater. Puis elle tourna son visage. Le défiant. Chose qu'il prit très mal. Il appuya sur un bouton sur un petit boitier qu'il avait cacher dans son dos. Avec un mauvais sourire il vis le corps de fille se tordre sous l'effet de l'éléctricité.
Lorsqu'il eu arrêter d'appuyer, il laissa le temps à la fille de reprendre son souffle.Puis il dit, violement, presque en hurlant:

_Qu'as tu vu?
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeJeu 17 Déc - 21:17

J'étais super soulagée d'avoir put voir. J'avais avec beaucoup de mal retenue un soupir. Le visage déçu de l'homme m'en dissuada définitivement. Je me tendis à nouveau. Mes poignets me faisaient plus mal que mes jambes, j'essayais de ne pas me concentrer sur la douleur. J'aurais dut mentir, maintenant il était trop tard, c'était certain, il avait découvert que j'avais vue, à vrai dire, à cette heure-ci de la nuit, je n'étais pas franchement bonne comédienne. Je savais qu'il ne me laisserais pas partir, d'abord il se défoulerai sur moi, peut-être qu'il le ferais jusqu'au petit matin? Je ne laissais rien paraitre de mes inquiétudes. J'avais peur que sa satisfaction lui en face faire toujours plus... Enfin... De toute façon il ne s'arrêterai pas avant d'avoir assouvis son but ou son je ne sais quoi ! Ils étaient tous comme ça ! Alors autant crier, hurler, injurier tout de suite? Non, je ne pouvais pas, c'était contre ma nature, contre mon caractère, je préférais encore souffrir le martyre que me conduire comme une lâche. Certains diraient que je suis maso, d'autres que je suis stupide, moi je me qualifiais juste d'entêtée ! Cela suffisait.
Son visage changea, il devint véxé, non, énervé ! Je frissonna. Sa réplique ne tarda pas à confirmer mes soupçons. Je ne le vis pas bouger, il le fit trop rapidement, et je me laissa surprendre pas une décharge électrique qui parcourut tout mon corps, il se tordis sous la douleur sans que je puisse y faire quelques choses. Je me mordis les lèvres furieusement, essayant de me concentrer sur ma douleur à la lèvre, ça me distrairait, il ne fallait pas que je crie, pas encore. La décharge allait et venait, c'était de la torture, elle revenait de façon énervante, de façon à donner envie de crier " STOP ", je me retenais comme je le pouvais.

_Qu'as tu vu?


La douleur s'atténua, il m'avais presque sortie de ma transe avec son cri enragé, j'étais tellement concentré et la douleur restait dans mes membres. Je n'avais pas encore parler depuis que j'étais entrée ici. Je n'avais pas encore eut besoin de le faire. De toute façon j'avais l'impression de n'être pour lui qu'un meuble alors je n'avais pas pris la peine d'ouvrir la bouche. Je n'hésitai pas trop longtemps, de peur de le fâcher et de le faire redoubler d'attaques. Je respirai profondément, de tel façon que ma voix fut à peu près normale :

- C'est un très joli collier que vous avez là...


Je n'avais pas été ironique... Bien que j'aurais bien ponctué mes phrases de quelques mots qui à coup sûr m'auraient valu d'autres décharges, je n'étais pas suicidaire à ce point ! Ma voix avait été neutre, je ne l'avais pas regardé, j'avais gardé mes yeux fixés sur la boite. De toute façon je l'avais sûrement déjà bien énervé, il était trop tard pour quoi que ce soit. J'aurais put essayer de lui mentir, je n'en aurait que souffert plus tard, autant que ce soit fait, quitte à ne plus jamais me réveiller, je n'aurais peut-être qu'un regret.
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeLun 25 Jan - 23:00

L’homme, avec un machiavélisme évident avait enclencher le petit méchanisme qui envoyé des décharges éléctriques à la jeune fille. Une enfant, une simple enfant… Quel âge pouvait elle bien avoir, 16 ans ? 17 ans ? 18 au maximum, et déjà, elle avait conscience de la vraie vie. Ou peut être n’en voyait elle que les mauvais côté. Car en dehors d’ici, la vie n’avait pas cette même saveur, cette même trame. Après tout, qui pouvait se retrouver attacher sur une chaise a moitier nu pour la simple et bonne raison que des scientifiques voulaient faire que quelques tests.
Soudain, il arrêta les décharges, la laissant reprendre son souffle. La voir ainsi se battre pour obtenir son oxygène avait quelque chose d’agréable. James caressa le bouton, en se demandant si cela était vraiment sadique s’il réapuyé. Il ne le fit pas et lui demanda plutôt se qu’elle avait vu. Elle hésita, a peine quelques secondes, sûrement le temps de peser le pour et le contre. Le pour était sa survi mental, sachant que celle physique était déjà bien éprouvé, et le contre était, sa mort. La jeune fille, finalement, lui dit d’un air sarcastique qu’elle voyait un collier. La colère, plus que la déception dut se lire sur le visage de l’homme car il grimaça, et sans s’en rendre compte, réapuya sur le corps, déclenchant les convulsions de la jeune fille. Rapidement, quand les gémissements toute fois retenu de la jeune fille se firent de moins en moins discret, et relacha son doigt. Il la laissa une nouvelle fois reprendre son souffle puis approcha d’elle.

_Bien, bien, dit il en tentant de prendre un ton professionnelle.

Il saisi le poigné attacher de la fille et ajoutant quelques réglages augmenta la puissance du bracelet. Il parti chercher une nouvelle boites. Il la reposa devant la jeune fille. Il approcha d’elle, s’accroupie devant son regard assassin, et ecarta quelques mèches tremper de sueur de la jeune fille et la replaça derrière son oreille.

_Tu as compris les règles, maintenant dit moi se que tu vois.

Il avait dit cela avec une douceur et une gentillesse qui n’était en rien franche. Non c’était plus pour l’enerve. Puis il se releva, réajustant ses vêtements et se plaça à côté de la boite, attendant que la jeune fille parle, lui dise avec peur " je...je ne vois rien...". Et La...La il pourrait appuyé sur son boitier, la faire hurler de douleur, jusqu'a qu'elle pleur, qu'elle supplie...
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeLun 25 Jan - 23:29

Je savais ce qu'il allait faire. Je l'avais sut avant même de dire ma réponse. A l'instant même où j'avais vue, j'avais été condamnée à ça. Non, enfaite, peut-être même bien avant. Mais je n'allais pas maintenant, chercher l'origine des choses, j'étais trop épuisée. J'avais la désagréable impression d'être une souris de laboratoire, une souris parmis tant d'autres, dont on use et on abuse jusqu'à ce qu'elles soient inutilisables. Et ensuite... ensuite, je n'osait même pas imaginer ce qu'il m'arriverait. Serait-ce pire? Ou mieux? En tout cas pour l'instant, j'aurais acceptée n'importe qu'elle sort, plutôt que celui qu'il me réserva, en appuyant à nouveau sur le bouton.
La douleur se fit ressentir, plus forte, plus vive, étirant mes muscles, courant sous ma peau, griffant mes veines, jouant avec mes nerfs, crispant mes doigts. Il fallait que je libère la souffrance, j'entrouvris la bouche, laissant malencontreusement s'échapper de petits cris à peine contrôlés, cela ne me soulageait pas beaucoup, au contraire, c'était pire, mais je n'arrivais plus à les retenir, et je haletais comme si je m'accrochais pour ne pas tomber dans l'inconscience, pourtant, c'était tout ce que j'aurais souhaité à ce moment là !
Sa s'arrêta. Je laissai tombée ma tête, ou plutôt, elle tomba d'elle même. Il s'approchait de moi, il m'attrapa le poignet, je posai un léger grognement. Sa brûlait. Il fit quelques réglages sur le bracelet, puis il s'accroupit, je lui lançai un regard sombre, si seulement j'avais eut le don de tuer d'un seul regard, j'aurais été plus tranquille. Il toucha mon visage de ses mains qui me dégoutaient, j'eus un frisson de dégout profond et je secoua la tête pour le repousser.

_Tu as compris les règles, maintenant dit moi se que tu vois.


Il se recula, se mit à côté d'une nouvelle boite, un de ses main posée sur la bouton. Je leva difficilement la tête, scrutai la boite, puis je la rebaissai, un sourire narquois mais fatigué sur les lèvres. Son truc ne marchait pas, il allait être déçus, et il s'en prendrait à moi. Tant pis, je ne lui mentirais pas, ce soir, je souffrirais à la place d'un autre. Ce serais peut-être la bonne action de trop?

- C'est une dague.


Ma voix n'était plus qu'un murmure, mon corps entier tremblait, je savais pertinemment que je ne supporterais pas la prochaine décharge, que mon corps ne la tiendrais pas, que j'allais craquer. J'avais l'impression d'être détruite.
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeMar 26 Jan - 20:16

James avait prit un malin plaisir à faire souffrir la jeune fille. Dut au faire qu’elle avait trouver la premier objet de la boite, il en avait ramener une seconde et avait augmenter la puissance du bracelet. La jeune fille lui avait répondu de suite, sans faire d’histoire. Lorsqu’elle avait prononcer le « c’est une dague », elle avait parrut fatigué, abattu. Son visage était cacher par des multiples mèches de cheveux. Pendant quelques secondes, il se demanda si elle pleurait. La colère s’empara de lui quand il comprit que la machine ne fonctionnait pas. Malgrés lui, il appuya sur le bouton. Automatiquement, elle se tendit, il pouvait lire la douleur sur son visage légèrement relevé.
James recula, surpris. Ce fut un choc, quand il vis les traits deformer par la douleur de la jeune fille, il reparti plusieurs moi en arrière, il revoyait Marie, la femme qui l’aimait plus que tout brulée vive. Il fut surpris, et celle-ci devait se lire son son visage. Automatiquement, son doigts relacha le boitier qui tomba au sol. Il ne dit rien, observant le visage rouge de la jeune fille.
C’est la qu’une jeune femme entra, c’était une autre scientifique. Celle-ci avait une dent contre les élèves de l’internat, pire que James. Elle prenait un malin plaisir à les faire souffrir

_Tu as fni James ?

L’homme acquiéssa silencieusement. Il ne remarqua pas le sourire sadique de la femme qui voyant le boitier au sol le saisi. James, qui avait mit l’intensité des décharges relativement basse, ne remarqua pas que sa collègue augmenta celle-ci a un point presque inimaginable. La seule chose qui le sorti de son appati fut le bruit, du corps souffrant sur la chaise. Il baissa un regard affolé sur la scientifique qui observait la jeune fille en souriant.

_Ca ne va pas ! Cria t-il.
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeMar 26 Jan - 20:38

Il n'avait pas apprécié. La douleur n'avait pas tarder. Elle c'était faufilée en moi comme la peste. Elle m'avait détruite presque sur le coup, ma tête ne tenait plus, en faite, plus rien ne tenait, j'avais l'impression d'avoir été démembrée, comme si on venait de m'arracher avec un malin plaisir toutes les parties de mon corps, tirant sur chacune très doucement, donnant le temps à la peau de s'étirer, aux veines d'exploser dans le corps, aux os de se briser, aux muscles de se tendres pour faire encore plus mal, puis, plus rien, comme si on avait lâcher les ficelles au pantin que j'étais. Seulement, au lieu de ne plus rien sentir, au lieu de tomber dans les vapes comme quelqu'un de normal, je restais consciente. J'avais l'impression qu'on passait sur ma peau une flamme, pourquoi est-ce que même si je ne sentais plus mes membres, j'avais encore tellement mal? On m'arrachait la peau, on me torturait, j'avais envie de bouger, de me recroquevillée sur moi même, d'arracher ses chaines et de me détruire ensuite totalement. Mettre fin à ma vie était ma seule envie, je ne pensais plus à Lola et aux autres, ce n'étais pas l'heure. J'essayai de lever un poignet, je ne pouvais plus, alors j'essayai de fermer les yeux, aussi fort que je le pouvais, pour m'endormir, m'endormir enfin et ne plus jamais me réveillée, n'avais-je pas assez souffert? N'avais-je pas payer ma dette? Avais-je encore commis des pêchés pour lesquels je n'avais pas été punie? Laissez moi dormir ! Laissez moi partir d'ici ! Laissez moi mourir !
Tout s'arrêta un instant, si les chaines n'avaient pas tant serrer mes mains et mes pieds, je serais tombée de ma chaise comme une vulgaire poupée. Mes paupières étaient lourdes, j'eus du mal à les ouvrir, je regardais mes mains ensanglantés, je ne ressemblait plus à rien, je n'étais plus que sang, sueur et souffrance. Qu'allait-on encore me faire? Combien de fois allait-on encore appuyer sur le bouton? Pourquoi est-ce que je tenais si longtemps? Combien de boite verais-je encore? Des voix s'élevèrent, comme un nuage dans ma tête, je fermais les yeux.

_Tu as fini James ?


Puis, elle revint, cette douleur, ce fléau, des choses brûlantes et mouillées coulaient sur mes joues, je mis un certain temps a comprendre que ce n'étais plus de la sueur mais des larmes. Arrêtez, arrêtez, ARRÊTEZ ! Sa faisait trop mal, beaucoup trop mal, mon corps allait exploser, je voulais qu'il explose !
Un cri retentis, la douleur de l'électricité s'enleva, mais je souffrais toujours, je pleurais, je n'arrêtais plus, je voulais dire quelques chose, mais plus rien ne sortais, qu'on me détache, pitié, détachez moi !
A ce moment là, ma souffrance était telle, que mourir aurait été le plus beau des cadeaux que la vie aurait put m'offrir, mais mon vœux ne se réalisait pas, je restait consciente. Qu'avais-je donc fait ?
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeMar 26 Jan - 21:12

C’ était étrange comme sa flash back avait changé son opinion de la jeune fille. Il ne la voyait plus comme une menace, mais une éspèce de réincarnation de son aimé. Il voulait donc tout arrêter, relacher la jeune fille. Mais les choses se pasèrent autrement. Alors qu’il se retournait vers l’adolescente, celle-ci se tortillait, souffrant le matyre. Ses yeux étaient plisser, ses bras tirer si fort sur les liens qu’elle saignait. Elle hurla, si fort que James sursautta. Il attrapa le boitier des mains de la femme et hurla. Lui cria de sortir, la femme lui répliqua quelque chose qu’il n’entendit pas. Il la repoussa en dehors de la salle et ferma la porte a clef. Aussitôt fait, il arrêter la machine. Il approcha de la jeune fille, lentement, comme s’il tentait de l’apprivoiser.

_C’est fini, murmura t-il.

Il s’accroupia devant elle et repoussa une nouvelle fois les cheveux de la jeune fille qui obstruait sa vision, découvrant un visage temper, de sueur, ou de larme, il ne savait pas vraiment. La lèvre de la jeune fille saignait, elle avait du se mordre en hurlant. Il caressa quelques secondes son visage, elle ne parrut pas réagirent. Puis il posa ses mains sur les siennes et dit toujours doucement :

_Je vais te détacher, d’accord ?

Doucement, il détacha les liens qui étaient presque incruster dans la peau de la jeune fille tant celle-ci avait tirer dessus. De grosse marques violette bariolé le poigné, et parfois celle-ci était aussi entaillé. Il caressa l’une des marques doucement. Une réalité simposa a l’homme, comment avait il put faire si mal a cette jeune fille alors qu’elle ressemblait tant a Marie…Marie qui avait elle aussi souffert au point d’en mourir. James comprit qu’il devait soignée la jeune fille, il ne pouvait pas la laisser dans cet état. Il parti chercher quelques compresse dans l’infirmerie, ainsi que tout ce dont il aurait besoins et les glissa dans ses poches, puis il réavança vers elle et se pencha et dit toujours calmement pour ne pas l’éffrayé, même s’il n’avait aucun doute sur ce qu’elle devait penser de lui .

_ Je vais tes soigner d’accord ? Mais pas ici…

Il la saisi sous les épaules et la redressa pour la mettre debout puis, la prit dans ses bras. Il sorti de la pièce, et grimpa les escaliers de l’internat jusqu’à arriver dans l’aile des Roses puis entra dans la chambre de la jeune fille.
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeMar 26 Jan - 22:39

M'avait on entendu? Avais-je priée à haute voix? Peu à peu, je sentais que je perdais connaissance. Je voyais les choses défiler sous mes yeux comme dans un rêve... Ou un cauchemar, je ne savais plus trop. Une de voix chassa l'autre, je crois que c'était le scientifique qui restait avec moi. Tant mieux, comme ça, il appuierai sur le bouton qui signerai ma mort et je serais enfin libérée de tout ça ! Mais, même dans ma semi-conscience, je sentais que quelques chose avait changée.

_C’est fini. Je vais te détacher, d’accord ?


Il c'était baissé vers moi, je n'avais pas bougée d'un poil, comme si je n'étais plus qu'un cadavre, mes yeux étaient restés baissés sur mes mains sanglantes, je n'avais pas clignée des paupières. Il m'avait touchée, je n'avais pas frémis, il avait parlé, je n'avais pas tressaillit, mais... Mais que disait-il? Il allait me libérée? Ça devait être une blague? Qu'est-ce qui lui prenait? Il c'était pris une tuile sur la tête ou bien quoi? Il avait fini de m'utiliser? Il était content de son travail alors il me relâchait? Moi qui pensais mourir. J'aurais put croire que maintenant il allait m'abandonnée, mais sa voix était si douce, que j'en doutais. Il allait m'aider. Aussi fou que ça pouvait paraitre, l'homme qui avait essayer de me tuer à maintes reprises allait, après l'arrivée surprise d'une femme que je ne connaissait pas, me libérer de ses chaines meurtrières. J'avais peine à y croire, pourtant, ça paraissait si vrai, plus vrai que le fait qu'il y avait quelques minutes, je songeais profondément à mourir. De toute façon, maintenant, j'étais dans un tel état de choc, que je ne réfléchissait pas bien loin. Il enleva les chaines, je ne bougeai pas, sa faisait trop mal, je ne pouvais pas bouger. Il caressa mon bras, sa faisait mal aussi. Peut-être que maintenant, il allait abusé de moi tiens, ce serait la meilleure ! Puis il se releva et partis quelques instants. Contrairement à ce que j'avais pensé, seuls mes pieds touchèrent le sol glacé, mon corps ne tomba pas de son siège, il était trop bien calé. Je profitai alors seulement du froid guérisseur au niveau de ma plante de pieds. Je remarquais soudain, que je retenais un peu ma respiration, j'essayai d'inspirer, mais ce fut comme si une main invisible m'écrasait les poumons, me les contractait au point que je dus un peu tousser pour ne pas m'étouffer. J'essayai de gober l'air, un peu paniquée, comme si j'allais me noyer, je n'arrivais qu'à prendre de petites bouffées saccadés, mais ça allait tout doucement mieux... Il revint.

_ Je vais tes soigner d’accord ? Mais pas ici…

Quand il me prit par les épaules, j'eus peur de n'avoir pas eut assez le temps de profiter de ma liberté et de ma vie ! Mes jambes flanchèrent immédiatement, après, je ne savais plus exactement ce qui c'était passé, mais je m'étais retrouvée dans ses bras, blottis comme un nourrisson, souffrante et tremblante, semant dans les couloirs des petites taches de sang. Quand il monta les escaliers, j'eus encore plus de mal à respirer et je suffoqua à plusieurs reprises. On entra dans une pièce dont je ne connaissait que trop bien les contours, c'était ma chambre. Ma douce et chaleureuse chambre au lit à baldaquins et à l'agréable canapé sur lequel étaient empilé un tas phénoménale de cousins. Je sentis bientôt sous moi, la douceur de mes draps en soie, et je leva vers le scientifique des yeux pleins de réprobation et humide de larmes.
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeMar 26 Jan - 23:35

Il était très difficile d’expliqué se qu’il se passait dans l’esprit de James a cet instant. Avait il pitier de l’adolescente pour soudain la traité avec tant de gentillesse. Ce n’était pas vraiment cela au final, non, plutôt, il revoyait, sans cesse lorsqu’il posait son regard sur son visage, celui qu’elle avait quelques minutes plus tôt, hurlant de douleur, similaire a celui de Marie lors de ses dernières minutes. Il avait l’impression de tuer une deuxième fois celle qu’il aimait plus que tout en faisait cela.
Il n’arrivait donc plus a lui faire du mal, a prendre du plaisir en la voyant se tordre de douleur comme une démente. De se fait, il avait décider d’arrêter la séance, mais il n’avait pas non plus réussi a la laisser ainsi, totalement traumatiser, à moitier morte, dans sa chambre. Il l’avait donc porter, avec une douceur qui le surpris lui-même. Il l’emena jusqu’à sa chambre, d’un coup de pied il ouvrit celle-ci. Le pièce était très simple, un lit, comme dans toute les chambres de l’internat et un lit et un canapé. Il décida de la poser sur le lit. La jeune fille n’avait toujours pas réagit. Il la cala contre le mur pour qu’elle soit légèrement assise.
Il s’assi a son tours sur le matela, juste à côté d’elle. Il l’observa silencieusement. Avait elle peur de lui ? Sûrement, elle devait le prendre pour un monstre, lui-même en y resongeant il se prendrait pour un monstre à sa place. James sorti tout se qu’il avait ramener dans ses poches et les étala sur le lit juste à côté d’elle. Il approcha sa main pour saisir son poignée et ressenti quelque chose d’étrange en lui. Une peur, sourde et froide qui s’intensifié plus il approchait sa main de la sienne. Il compris, bien évidement, ne pouvant nier l’évidence que c’était la peur de la fille qui s’insinuait en lui. Soupirant, il saisi doucement le poignée et le posa sur son genoux, saisissant du désinféctant et une compresse il dit :

_ Calme toi, je ne vais plus rien te faire.


Il sourit en secouant le flacon devant ses yeux .

_ C’est du désinfectant. Sa risque juste de pique
r

Il en versa légèrement sur sa propre peau pour lui montrer puis, calmement fit glisser la compresse contre les plaies de la jeune fille.
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeMer 27 Jan - 1:08

Je remarquais vaguement qu'il m'avait assise sur le lit. Mais bien que son attitude envers moi avait changée, je ne voulais pas qu'il reste ici, je voulais qu'il parte, qu'il quitte ma chambre, quitte à me laisser crever et inonder mes draps de sang, du temps qu'il fichait le camps d'ici, du temps qu'il me laissait toute seule. Mais il ne semblait pas vouloir s'en aller. Pourquoi? Qu'est-ce qu'il pouvait bien encore me vouloir? N'en avait-il pas déjà assez appris pour ce soir? En voulait-il encore plus? Ou était-il réellement devenu sympathique?
Peut-être que j'aurais été mieux, s'il n'avait pas eut de pitié, s'il avait encore une fois appuyer sur le bouton ou s'il m'avait laissé tomber sur le sol glaciale comme une vieux chiffon inutilisable. C'était trop dommage qu'il ait eut pitié, j'espérais seulement qu'il n'allait pas avoir d'arrières pensés étranges, j'étais trop épuisée, j'avais encore trop mal, moins qu'avant, mais je souffrais toujours et je n'arrivais toujours pas à prendre de grandes inspirations.
Il s'assit à côté de moi sur le lit, j'avais peur qu'il me touche, je n'aimais pas la présence de ce quasi-inconnu dans ma chambre... Et d'ailleurs, comment savait-il ma chambre? sa aussi sa m'inquiétait !
Sur le lit, il étala des drôles d'ustensile et de produits de couleurs différentes, je reconnaissait de l'alcool et des pansements, le reste des emballages et des flacons m'étaient totalement inconnus. Que voulait-il me faire avec ça? Il ne comptait quand même pas tenir ce qu'il avait dit quelques minutes plus tôt? Il n'allait quand même pas me soigner? Je n'avais pas besoin de lui, je le ferais toute seule ! J'entre-ouvris la bouche pour protester, aucun son ne sortis, je fronçai les sourcils. Il prit ma main, ce contacte qu'il ré-éditait me dérangeait et créait en moi comme un drôle de frisson dont je ne savais pas vraiment si c'était du dégoût ou de la peur. Il pris un coton et une lotion bleuâtre.

_ Calme toi, je ne vais plus rien te faire.


S'il n'allait plus rien me faire ! Qu'il sorte donc ! Et puis, ne me trouvait-il pas calme? Bien sûr, à l'intérieur je ne l'étais pas, mais à l'extérieur, tout mes muscles étaient comme endormis alors je ne pouvais pas franchement bouger. J'essayai tout de même de retirer mon bras de sa main, pour lui montrer que je ne voulais pas de son aide. Qu'il parte ! Il en avait déjà assez fait, c'était la seule chose que je voulais lui demander, si seulement j'avais réussit à parler.

_ C’est du désinfectant. Sa risque juste de piquer.

Le mot "piquer" me donna des frissons dans le dos, je tirai un peu plus ma main, il en mis un peu sur sa peau. Comme si ça allait me rassurer ! Ce n'était pas lui qui avait des plaies le long des membres ! Doucement, il fit couler le liquide sur mes plaies, je me mordis la lèvre du bas, déjà bien endommagée en poussant un petit gémissement de mécontentement et en essayant de m'éloigner comme je le pouvais de lui.

- Lâ... Lâche moi.
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeMer 27 Jan - 1:25

L’homme avait verser un peu de lotion sur la plaie de la jeune fille et celle-ci gémit de douleur. James eu un sourire triste a son égard. En lui, il sentait la peur de ma jeune fille s’intensifié, lui-même n’avait envie que d’une chose, sortir, pour ne plus sentir cette angoisse qui n’avait aucun fondement. Elisabeth réagit rapidement, celle-ci enleva son bras des mains de James et recula légèrement vers le mur, se plaquant sa celui-ci. Il la laissa faire, n’essayant même pas de retenir a main. Il posait les siennes sur ses genoux, et la regarda.

_ Lâ... Lâche moi.

Il soupira, il comprenait sa réaction. Après tout, quelques minutes plus tôt il avait un boitier dans la main et appuyer sur celui-ci pour la faire souffrir. Simplement lui faire mal et la voir pleuré. S’imaginant sourire devant les gesticulement affolé de l’enfant l’écoeura mais il ne dit rien. Il glissa, légèrement vers Elisabeth, doucement, comme si la jeune fille était un animal farouche qui risquait de fuir. Avec le peu de force qu’elle avait, elle ne risquer pas. Ses jambes et ses bras était légèrement violé par endroit, elle aurait sûrement du mal a bouger pendant quelques jours.

_ Je sais que…tu ne comprends pas pourquoi je fais sa, mais fait moi confiance.


Il tendit sa main, pomme ouverte, attendant que la jeune fille accepte de lui confier ses blessures. Il ne savait pas comment la convaincre de sa bonne fois, car après tout, il ne voulait vraiment pas lui faire mal. Il en serait incapable, il le savait. Le plus étrange, est qu'il aurait très bien put confier la tache a un autre scientifique, tester le bracelet était important, mais il ne pouvait pas l'imaginer pleurer, l'imaginer souffrante

_ Je ne te ferais pas mal Elisabeth, et si tu veux que cela cesse de te faire souffrir, tu devrais accepter de me laisser faire.
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeMer 27 Jan - 2:00

Je m'adossais contre le mur, me servant de lui comme appuis pour ne pas m'écrouler sous le poids de la souffrance et de mon malheur. Et lui, il souriait ! Tristement, serte, mais il souriait. Ce rendait-il encore compte de ce qui ce passait là? Il venait de me torturer à outrance, j'aurais déjà dut être morte depuis bien longtemps, j'étais en sous-vêtement sur mon lit et lui, il se rapprochait tranquillement de moi, lui, le scientifique pervers et sadique, moi la pauvre fille qui n'a jamais rien demandé à personne et qui n'avait comme seul souhait pour l'instant que le fait de pouvoir se retrouver seule avec elle-même pour remettre un peu d'ordres dans ses idées !
Je ne savais même pas comment tout cela allait continuer, est-ce que la douleur s'arrêterait? Est-ce qu'il me laisserai enfin tranquille? Est-ce qu'on m'utiliserait encore pour les expériences? Allais-je seulement encore vivre? Me laisseront-ils cette punition? Ne mettront-ils jamais de fin à nos peines? S'ils nous tuaient directement, ce serait plus rapide, plus radicale. Je ne voulais pas être une expérience, je ne voulais pas être un objet.
Il s'approcha encore de moi, je ne pouvais plus reculer, de toute façon, mes bras ne me soutenaient plus, j'étais vulnérable.

_ Je sais que…tu ne comprends pas pourquoi je fais sa, mais fait moi confiance.


Effectivement, je ne comprenais rien. Était-ce cette voix féminine, cette silhouette que j'avais vaguement aperçut qui avait tout changée? Lui devais je quelques chose? Avait elle dit ou fait quelques chose qui m'avait "sauvé" d'une mort qui m'aurait soulagée? Je ne savais pas vraiment si je devais en vouloir à cette femme ou non, mais j'étais quasiment certaines qu'elle y était pour quelques chose, si j'étais encore en vie. La confiance... c'était bien difficile, alors qu'il venait juste de me faire souffrir comme jamais on ne m'avait fait souffrir au paravent.
Il tendis une main, je ne bougeais pas.

_ Je ne te ferais pas mal Elisabeth, et si tu veux que cela cesse de te faire souffrir, tu devrais accepter de me laisser faire.


A ce moment là, mes yeux s'agrandirent, je plantai mon regard dans le sien, je n'avais plus peur, j'étais juste totalement surprise. Comment... comment était-ce possible? Alors, je n'étais pas qu'un objet? Je n'étais pas seulement un corps avec un don et un code barre pour lui? Maintenant, j'avais aussi un prénom? C'était... étonnant. Je penchai ma tête légèrement sur le côté, même si sa me fit mal. Puis je pris la plus grande inspiration que je le pouvais :

- Vous savez comment je m'appelle?


Je ne le quittais pas des yeux, je pris une deuxième inspiration, je la bloqua, je soulevai ma main et la posa dans la sienne avant de souffler, ça avait fait mal, mais à l'instant même où il avait prononcé mon prénom, tout c'était comme éclairé, et je n'avais plus eut aucun doute sur ses bonnes intentions.
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeMer 27 Jan - 9:17

James avait toujours la main tendu vers la jeune fille, celle-ci l'observait. Elle ne devait pas croire au belle parole de l'homme. Après tout, qui l'aurait crus sachant que quelques minutes plus tôt vous étiez attacher a une chaise en vous d'ébatant contre des liens qui ne lachaient pas.

_Je ne te ferais pas mal Elisabeth, et si tu veux que cela cesse de te faire souffrir, tu devrais accepter de me laisser faire.

Il ne mentait pas, il avait ramener une crème qui appaiserait la douleur des bleu, de quoi soigner les plaies. Si elle ne le laissait pas faire, rapidement, tout cela s'infecterais et elle souffrirait. Ou peut être que James serait contraint de prevenir l'infermière et Elisabeth devrait se laisser soigner de force.

_Vous savez comment je m'appelle?

L'homme la regarda, surpris. Il ne s'était pas rendu compte qu'il n'avait pas utiliser son numéro, mais son prénom. Ceci le choqua, le surpris. Lui qui vouait une véritable haine a tout ces enfants de malheur, n'avait jamais accepter des les appeler par leur prénom, après tout le faire signifiait qu'on leur attribuaient une identité, une âme, et il n'en avait guerre. Pourtant, s'était le prénom de la jeune fille qu'il venait de dire, et non son matricule. Celle-ci parrut se détendre, se calmer, et la peur qu'il ressentait en lui restait là, mais beaucoup moins présente. Finalement, Elisabeth leva son bras et posa son poignée dans sa main doucement. James tenta de sourire, pour lui donner confiance. Sans rien dire, il saisi le coton qui était imbibé d'alcool et le frota sur les diverses plaie qui m'acculais le bras. Cela devait être assez douloureux, mais pas autant que ce qui lui avait fait subir sur la chaise. Ensuite, il reposa le bras sur le matela et saisi le second, où il fit la même chose que sur le premier. Chose faites, il murmura:

_Voila...

HJ/ désolé c'est court, je rajoute des lignes de descriptions se soir, tu peux rep.
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeMer 27 Jan - 13:27

Je lui faisais confiance? Je devais être folle à liée ! Mais... Il m'avait appelé par mon prénom, et j'étais certaine qui s'il me voulait du mal, même en mentant, il n'aurait jamais prononcé mon prénom, enfin, c'était comme ça que je me l'étais imaginée... Donc, il était sincère, réellement sincère. Il voulait me soigner, il ne me ferait plus de mal, c'était ce qu'il avait dit, il tiendrait sa promesse, c'était ce que disaient ses yeux qui paraissaient légèrement... Inquiets? Pour qui? Pour moi... ou pour lui? Ce qu'il faisait là, ça devait être risqué. Je m'étais bien imaginée que ses scientifiques devaient avoir un grand chef ou dieux ou je-ne-sais-quoi, alors ils devaient forcément avoir aussi des règles, et là, j'étais certaine qu'il était entrain de les violés. A moins qu'il y ait écrit << Après avoir traumatiser les élèves, ramenez les dans leurs chambres et soignez les avec douceur ! >>. Impossible, ça ne correspondait pas franchement à l'endroit. Et puis, après tout peut-être qu'ils n'avaient pas de règlement, juste la consigne de faire ce qu'ils voulaient de nous, de s'amuser autant qu'ils voulaient. Mais, j'étais au moins sur qu'ils avaient quelqu'un pour les dirigés, ça, c'était obligé, il faut toujours un chef, j'aurais voulut connaitre le leurs, j'aurais voulut l'attacher à la chaise et m'amuser à mon tour !
Et au faite... Que risquait-il en faisant ça? Rien? Sa vie? Son boulot? Et puis depuis quand je m'inquiétais moi? Il n'y avait aucune raison valable, je devais simplement être curieuse.
A ma question, il ne rendis qu'un regard encore plus étonné que le mien. Alors il n'avait pas fait exprès de m'appeler par mon prénom? A son visage, on aurait dit que non. C'était troublant. A ce demander si je n'étais pas complètement détraquée? Peut-être que je rêvais? La douleur que je ressentis lorsqu'il désinfecta mes plaies me confirma que je ne dormais pas. Il me sourit comme pour me rassurer, je n'y prêtais plus attention. Il remonta avec le coton sur tout le long de mon bras, nettoyant peu à peu toutes les blessures, je n'avais pas remarquée que j'en avais autant, je ne savais même pas comment j'avais réussit à me faire tout ça ! C'était douloureux, mais je supportais, c'était déjà ça que je puisse à nouveau me sentir plus ou moins libre et puis, c'était plus agréable que les chocs électriques. J'en voulais à l'homme, dont, moi, je ne connaissait pas le prénom.

_Voila...


Il avait fini? Je contemplai mes bras meurtris, je ne dis pas merci. Non, sa aurait été idiot de dire "merci" à quelqu'un qui soignait les plaies qu'il venait juste de vous faire. C'était insensé. Je gardais à nouveau la tête baissée, j'avais envie de le chasser, qu'il parte, qu'il me laisse, maintenant, je n'avais réellement plus besoin de sa présence.

- Allez vous en.


Ma voix n'était qu'un chuchotement, je ne savais même pas s'il m'avait entendu. Je baissa encore plus la tête quand je sentis quelques chose de froid et d'humide glisser sur mes joues, je pleurais encore. Je ne savais plus pourquoi, ça devait être le choc, je ne me sentais pas bien, toutes mes pensées se mélangeaient tandis que des larmes coulaient inlassablement de mes yeux, sans aucun bruit.
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeMer 27 Jan - 23:55

L'homme avait guerri les blessures de la jeune fille. Elle s'était docilement laisser faire. Il ne savait pas trop pourquoi. Il savait qui lui avait fait du mal, peut être même l’avait traumatiser, mais après tout, de quoi pouvait il se plaindre, s’était se qu’il avait désiré…au départ. Il avait voulu se venger, sur une enfant innocente. Il le réalisait enfin, et même si l’image d’Elisabeth s’était amélioré dans son esprit, les autres restaient des monstres. S’était donc totalement injuste qu’il ne puisse faire du mal à Elisabeth plus qu’a une autre, mais avec un tel visage, une tel ressemblance, comment pouvait il ? Pensifs, il avait donc laisser glisser le coton sur les multiples blessures de la jeune fille puis, après avoir fini le travaille, la jeune fille reprit son bras. Il la regarda, de la colère s’insinua en lui, de la fatigue aussi. Il sentait les nerfs de la jeune fille craquer, comme si lui-même allait se mettre a pleurer. Elisabeth baissa une nouvelle fois son visage, lui cachant ses yeux. Il n’entendit qu’un chuchottement, un « va t’en » qu’il mis un certain temps a décripter. Il ne bougea pas, resta stoïque comme si elle n’avait rien dit. Puis il vit les épaules de la jeune fille s’affaisser, parfois, celle-ci trésauter, en reniflant discretement. Au départ il ne comprit pas se qu’il se passait. Puis il les vis, ses larmes, tomber sur la couette, la tachant éphémèrement. La douleur lui serra le cœur, et il tendit le bras pour la prendre dans ses bras puis se reprit. Non, il n’avait pas le droit, elle voulait qu’il parte…Mais s’était si dur.

_Eli…sabeth…Je…Ne pleures pas, soupira t-il finalement.

James n’avait jamais aimé rester avec des gens qui pleuraient où qui allaient mal, simplement parce qu’il ressentait leur douleur comme si celle-ci était la sienne, parfois, il suffisait qu’une femme cocu passe a côté de lui pour qu’il ai finalement envie de se suicider, qu’un homme ivre l’approche pour qu’il ai envie d’hurler. Les émotions des gens étaient incontrolable. Mais cette fois, il ne parti pas, lui qui avait l’habitude de fuir les larmes, il resta sans bouger, la fixant silencieusement.

_ Tu…Tu as mal ?

Il savait que se n’était pas de douleur qu’elle pleurait, il s’en doutait. Ou sinon, il fallait accepter que les peines soit des blessures. Il pouvait compendre qu’elle craque, lui-même l’aurait fait, n’importe qui aurait pleurer comme un enfant, quémandant sa mère, ou appelant à l’aide. Il revoyait Elisabeth, hurler simplement, un cris de douleur, sans demande, sans plainte, juste l’expression d’un mal physique. Il trouvait cela assez courageux, qui plus est, elle avait tenu très longtemps silencieuse. Il n’avait jamais essayer de s’envoyer des décharges sur lui-même, mais pouver imaginer la douleur.
Il glissa sur le lit, jusqu’à se retrouver à côté d’elle, puis, une nouvelle fois, encore, parce qu’il était incapable de se retenir d’observer se visage d’adolescente qui lui faisait tant pensée à celle qui l’avait aimé, il dégagea ses cheveux.

_Je sais que je n’ai pas le droit de te demander sa…mais ne pleures pas.
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeJeu 28 Jan - 19:58

Je l'avais laissée faire, je l'avais laissée me soigner parce que je savais que je n'y serait pas arrivée toute seule, je l'avais autorisé à me touchée. Il m'avait aidé, mais il n'était pas pour autant pardonné. Je ne pouvais pas, je me souvenais encore trop bien de la douleur, je ne comprenais pas encore. Je ne pouvais pas comprendre, il devait m'expliquer. Me tuer ou me sauver? Il aurait put se décider plus tôt, il aurait put choisir de me laisser simplement tranquille. Il aurait aussi put choisir quelqu'un d'autre? Je n'avais rien demander. Ceci dit, je ne souhaitais à personne ce que j'avais endurée ce soir, je ne savais vraiment pas quand est-ce que je pourrais bouger normalement à nouveau. Peut-être le scientifique avait eut des regrets en me voyant souffrir? N'aurait-il pas put en avoir un peu plus tôt? Sa m'aurait arrangée ! Avait-il été obligé d'attendre que je sois à moitié dans le coma pour se rendre compte qu'il était entrain de déverser toute sa colère sur une adolescente innocente, qui plus est attachée et sans défenses ! Allez chercher la justice là dedans ! Au moins, j'étais sauvée pour le moment, mais la désirais-je vraiment?
A ce moment là, je pensai à Lola, mes pleurs redoublèrent sans que je m'en rende vraiment compte. Et elle? Qui l'avait aidée? Qui l'avait sauvée? J'avais maintenant connus le même traitement qu'elle, je m'étais enfin rendue compte de ce que Lola avait bien put endurée. Et moi, pourquoi n'avais-je pas été là quand elle souffrait vraiment? C'était terrible, je n'oserais plus jamais la regarder en face... Si... si au moins je la revoyait un jour...

_Eli…sabeth…Je…Ne pleures pas. Tu…Tu as mal ?

Je ne répondais pas. Je ne bougeai pas. De toute façon, je ne pouvais quasiment pas bougée. Moi aussi, j'aurais bien voulut arrêter de pleurer, mais mes larmes coulaient d'elles mêmes et j'aurais voulut que ma douleur coule avec elles, que mes souvenirs de cette sombre nuit soient emportés avec elles. Mais, ça ne semblait pas fonctionner, les larmes n'étaient pas agréables comme elles pouvaient l'avoir été, non, là, elles me brûlaient les joues, elles me les lasséraient, elle créaient une drôle de boule dans la gorge qui m'empêchait encore plus de respirer normalement, je devais donc toussoter, ce qui me faisait encore plus pleurer. J'étais si pitoyable. Si impuissante, comme je me haïssais maintenant, comme j'aurais voulut disparaitre! Oui, j'avais mal, mais je ne savais plus où.
Je sentis qu'on s'approchait de moi. Le scientifique s'assit contre le mur, juste à côté de moi. Il enleva les cheveux de mon visage, comme il l'avait déjà fait. Je ne réagis pas.

_Je sais que je n’ai pas le droit de te demander sa…mais ne pleures pas.


Je mis plusieurs minutes à arrêter de pleurer... Cinq ou dix, pendant ce temps j'avais essayer de faire le vide dans ma tête, d'enlever de mon esprit toutes ses pensés malsaines, égoïstes et meurtrières. Je n'avais plus penser à rien. Non, il n'avait pas le droit de me le demander, je ne lui devais rien, je n'aurais même pas dut arrêter de pleurer, juste pour l'énerver, j'aurais dut continuer. Mais une petite voix m'intima de l'écouter, de lui faire confiance, de changer un peu. Elle me dit aussi que maintenant, plus rien ne sera jamais plus pareil, mais je ne l'écoutais déjà plus. Je renifla, reposa ma tête contre le mur et essuya les traces de larmes de ma paume de main que je réussit doucement à relever jusqu'à mon visage. Je respira plusieurs fois profondément pour m'assurer que je ne pleurerais plus, mais c'était certain que si je pensais de nouveau à ce soir, j'allais à nouveau éclater en sanglots. Il ne fallait pas, ce dont j'avais besoin, maintenant que je m'étais calmée, c'était de chaleur humaine, de quelqu'un pour me faire croire que je n'étais pas toute seule. Je ne réfléchis pas plus longtemps, et bientôt, ma tête se posa sur l'épaule du scientifique.
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeJeu 28 Jan - 20:49

Elle s’était mise a pleurer, d’un seul coup. Aucun sons ne s’échapper de ses larmes, elle pleurait, discrètement, comme si elle aurait aimé que personne ne le sache. Sûrement était se le cas, qui aurait voulu voir son bourreau vous observer quand vous vous sentiez au plus bas. Après tout, ceci devait être une des pires journées de sa vie, sinon, a quoi pouvait bien ressembler les autres ? Il l’avait torturé. Torturer ! En y réfléchissant, James ne savait pas comment il avait put conscienseuement poser les électrodes sur son corps chétif. Il lui demanda de ne plus pleurer, elle ne lui dit rien, mais il savait qu’elle ne le ferait pas pour lui, mais il ne supportait pas ses larmes. Il avait aussi du mal a supporter qu’elle se taise, qu’elle se mur dans se silence palpable qui ne faisait que lui rappeler sa faute, ses fautes. Puis finalement, elle se tut, doucement mais sûrement, elle se calma. James guetta les derniers trésautement, puis les reniflements annonceur de la fin de la crise. Et Elle se tut.
Le silence dura quelques secondes, puis, soudain, la tête de la jeune fille se posa sur son épaule. James se raidi, surpris, puis, sa détendi, reprenant une longue respiration. Elle ne dit toujours rien, toujours silencieuse. Au départ, il ne sut pas quoi faire, puis vit, au bras de la jeune fille, toujours le bracelet. Doucement, sans enlever la tête de la jeune fille sur son épaule, le garçon pris la main de la fille et sorti une petite clef de sa poche, il la glissa dans le bracelet, qui tomba du bras de la jeune fille, laissant une jolie marque violette. Il fit glisser ses doigts sur la marque, tentant d’attenuer la douleur qu’elle aurait put occasioner.
Ils ne dirent rien pendant plusieurs minutes. Quel âge pouvait elle avoir ? 16 ans ? 17 ans ? Et lui, combien avait il, 28 ans, avait il le droit d’être si proche d’elle ? Encore pire, avait il le droit de faire souffrir une jeune fille 10 ans plus jeune ? Non, et pour autant, il se sentait bien, là, avec elle. Il avait l’impression de revenir quelques temps en arrière, et Marie serait a sa place. James savait, que cet attachement qu’il éprouvait pour l’adolescente était purement fictif, pour autant il s’en contentait.
Doucement, il passa ses épaules autours des épaules de la jeune fille, et murmura :

_Je suis vraiment désolé.
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeJeu 28 Jan - 22:47

J'étais vraiment en manque d'attention. Depuis combien de temps ne m'avait-on pas dit qu'on tenait à moi? Que j'étais importante, pour autre chose que pour une expérience? Depuis combien de temps ne m'avait-on pas fait savoir que j'étais quelqu'un, quelqu'un d'unique, de spécial. Trop longtemps sûrement pour ma fragile petite personne...
Le contacte de quelqu'un au près de moi me faisait plus de bien que sa n'aurait dut. Oui, j'étais vraiment folle, je me jetais dans la gueule du loup, indifférente aux conséquences. Etais-je naïve? Oui. Je l'étais. J'étais folle, naïve, fragile et stupide. Tant pis.
J'étais donc dans les bras d'un homme dont je ne savais rien d'autre que sa profession, je ne savais ni son age, ni son prénom, rien. Mais... Malgré tout, maintenant, vu sous cet angle, il paraissait bien moins assuré et beaucoup plus gentil. Peut-être même un peu fragile lui aussi non? Je me demandais soudain pourquoi il avait décidé de travailler ici. Y avait-il été obligé? Ou il avait choisit? Peut-être qu'il avait eut un sale passé? Un orphelin peut-être, ou quelques chose comme ça. On ne deviens pas méchant pour rien non? J'étais certaine que non, moi non plus avant d'arriver ici je n'étais pas comme ça, je n'étais pas silencieuse et réservée, c'était comme si j'avais laissée une partie de moi derrière les murs de l'internat. J'étais encore moi... Mais j'avais perdu une grande partie, et peut-être la meilleure. Si seulement je pouvais me retrouver, si seulement je pouvais remplir se vide taillé en moi, se manque constant, infini et douloureux.
J'avais tellement de questions à lui poser, je voulais tout savoir. Pourquoi il m'avait fait ça, pourquoi il était ici, des choses comme ça. L'autre "moi" l'aurait fait, moi, je préférais me taire, rester silencieusement dans mes pensés. Tout ça devait être un rêve, rien qu'un rêve.
Soudain, il me prit ma main, il sortit une clef, je ne compris ce qu'il faisait que quand le bracelet tomba sur les draps blancs tachetés de rouges à certains endroits. Je regardais mon poignet, j'avais là une nouvelle jolie marque violette ! Je ne bronchai pas non plus. Que dire? Là non plus, "merci" ne me plaisait pas franchement.

_Je suis vraiment désolé.

- Pourquoi?


Ma voix était douce, on n'y sentais pas beaucoup le reproche, pourtant il était là. Je voulais qu'il me dise pourquoi il était désolé, pourquoi il voulait que je lui pardonne, je voulais qu'il me dise ce qu'il avait fait, savoir s'il se rendait compte de l'étendu des dégâts. Savait-il? Connaissait-il la souffrance de la chaise? Non, non il ne faisait que la faire connaitre surement, et je n'étais certainement pas la première victime. Une colère sourde monta en moi, je devais me calmer, je n'étais pas en état de me venger pour l'instant.
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeJeu 28 Jan - 23:36

    James avait entouré les épaules de la jeune fille, et l’avait serrer contre lui. La jeune fille était tremblante, peut être ne s’en rendait elle pas compte, peut être était se juste son corps fatigué qui s’exprimer de cette façon, en tout cas, l’homme la sentait légèrement bouger constament. Il frotta son épaule de sa main, calmement.

    _ Je suis vraiment désolé.

    Il était franc. Il l’était, il était terriblement désolé de s’être emporté et de lui avoir fait mal, que la scientifique ai joué avec elle comme on s’amuse avec un vulgaire animal, qu’elle soit tombé dans cet internat. Mais il était désolé aussi pour plein de chose…qui n’ avait pas réellement de rapport avec elle. Désolé d’avoir croiser la route de la jeune fille quelques mois plus tôt, que celle-ci ai tué sa fiancé, qu’il n’ai rien put faire pour l’aider, juste la contemplé mourir. Mais il ne pouvait pas s’excuser au près d’elle, non, Marie était morte, et sa conscience de scientifique l’empêchait de croire au fait qu’il pouvait espéré qu’elle soit vivante, quelques part..dans un autre univers. Non, il n’y croyait pas, même s’il aurait aimé.

    _ Pourquoi?

    James tourna la tête vers elle. Comment sa pourquoi ? Pourquoi il s’excusait ? S’était pourtant simple non, parce qu’il n’aurait jamais du lui faire sa. Qui l’avait autoriser ? Bien sur, il avait reçut des ordres, des ordres lui ordonnant de trouver le moyen de pouvoir exploiter les élèves et leur don. D’ailleurs, aujourd’hui, il pensait avoir trouvé quelque chose, peut être, sûrement même, mais il n’avait pas eu le temps de faire tout les tests qu’il aurait dut. Il devrait donc choisir quelqu’un d’autre, assoir quelqu’un d’autre sur la chaise, poser les même electrodes, avec les même ordres et les même boite. Alors, pourquoi n’avait il pas put continuer sur Elisabeth…Pourquoi ?
    James rigola et dit, toujours en caressant distraitement l’épaule :

    _ Pourquoi ? Parce que je n’aurais pas dut te faire sa…

    Il soupira :

    _Malheureusement, je n’ai pas le choix, et demain…je devrais recommencer sur quelqu’un…

    Il baissa la tête. Il avait un peu honte, d’annoncer cela a cet jeune fille, qu’il ne connaissait presque pas, qu’il n’appreciait que de visage.
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Elisabeth A. Stefan
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MessageSujet: Re: teste sur 44217 R | Elisabeth   teste sur 44217 R | Elisabeth Icon_minitimeVen 29 Jan - 20:22

Je voulais qu'il le dise, qu'il se sente honteux, qu'il comprenne à quel point il était horrible, à quel point il était monstrueux. C'était peine perdue, jamais je n'arriverais à lui faire entendre raison, et puis... à quoi ça me servirait? Il faudrait tous les convaincre ! Je n'en étais pas capable. C'était certain, même si je le voulais vraiment, je serais morte avant d'avoir réussit, tôt ou tard quelqu'un me tuerait et il n'y aurait alors personne pour achever mon travail. C'était donc inutile.

_ Pourquoi ? Parce que je n’aurais pas dut te faire sa…


Oui, mais il l'avait fait, il l'avais fait sans pitié. Et puis il avait arrêter. Enfaite, peut-être faisait-il ça avec tout les élèves? Peut-être les martyrisait-il puis il les ramenaient dans leurs chambres, se faisait pardonné et recommençait.

_Malheureusement, je n’ai pas le choix, et demain…je devrais recommencer sur quelqu’un…


Je lançais un regard plein de haine vers le bracelet sur le lit. J'avais envie de le prendre et de le lancer tellement fort qu'il se briserait contre le mur. En étais-je capable? Je savais bien qu'il y avait quelqu'un qui leurs donnaient des ordres, mes les règles ne sont-elles pas faites pour ne pas être respectés? Pour moi c'était le cas, je n'aimais pas les règles, surtout si elles nuisaient à la vie des autre. Que risquait-il? Franchement? Il baissa la tête, j'avais envie de hurler, de casser en mille morceaux sa chaise et son foutu bracelet, le torturer lui et tout les autres pour les crimes qu'ils avaient commis et qu'ils commeteraient encore si quelqu'un ne les arrêtait pas. Je n'osais même pas imaginer que quelqu'un d'autre, un adolescent comme moi subirai demain la même douleur. Je fis en sorte de dégager son bras de mes épaules, même si sa me pris un peu plus de temps que sa n'aurait dut à cause de ma douleur. Je me décalai encore, jusqu'à ce que j'atteigne le bout du lit, j'étais trop énervée pour porter une grande attention à ma douleur.

- Sortez d'ici.


Il n'y eut pas de réaction immédiate, je n'avais pas levée la tête, j'étais toujours collée contre le mur, mais maintenant à bien un mètre de lui. Il me dégoutait, je me dégoutais de lui avoir un instant fait confiance, je m'en voulais, comment avais-je put. Maintenant, sa présence me dérangeait à nouveau. C'était impressionnant à quelle vitesse j'arrivais à changer d'avis à propos de quelqu'un ou quelques chose.
Je levai alors mes yeux vers lui, le regardant autant en face que je le pouvais.

- SORTEZ DE CETTE CHAMBRE TOUT DE SUITE !
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