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Vous vous êtes réveillé ici sans savoir comment. On vous à simplement dit c'est comme ça, et vous n'avez rien put faire.
 
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 Expérience en détresse !

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Elisabeth A. Stefan
I am the flower of the night .
Elisabeth A. Stefan


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MessageSujet: Expérience en détresse !   Expérience en détresse ! Icon_minitimeMer 21 Avr - 23:57

    Tout avait pourtant plus ou moins bien commercer. Sa faisait un mois environs que je ne m'étais plus faite attrapée pour une de leurs expériences loufoques, depuis le dénommé James enfaite, je n'avais plus rencontré aucun scientifique qui veuille me torturer. Cependant "l'entretient" que j'avais subit avec James m'avait quelque peu... Perturbée... Ce n'était pas tout les jours qu'on se faisait quasiment tuer puis soigner par la même personne ! Ce jour-là, j'avais frôlée la mort, j'étais aller la taquiner sans le vouloir, j'avais atteint les limites de mon corps et j'avais mis longtemps à en guérir... Physiquement en tout cas, car mon mentale était bien plus affecté que je ne le laissait parraître, on ne rencontre pas la mort tout les jours... J'étais beaucoup restée enfermée ces derniers temps, je n'avais pas vue Lola, alors je n'avais pas put lui raconter mes sombres aventures... et de toute façon je ne sais pas si j'en aurais eut le courage... probablement pas. Et ce James, après que je l'ai chassé de ma chambre en hurlant il avait disparut. Heureusement d'ailleurs, car je n'étais pas sûre de supporter le fait de le revoir, enfin je savais qu'un jour ou l'autre sa arriverai, mais plus tard ce serais, mieux je me porterais. Au souvenir du scientifique, j'avais porté automatiquement ma main droite à mon poignet et dans un geste machinal je me massais la peau, me rapellant la douleur des chaines qui m'avaient lacérés les poignets. Quand je m'en rendis compte je laissai retomber mes bras et accéléra le pas.
    Je jetais un regard autour de moi et je me rendis compte que je m'étais inconsciemment dirigée vers le laboratoire ! Quelle belle idiote je faisait ! Comment étais-je arrivée ici? Ca devait être parce que je m'étais perdue dans mes pensées. Bizarrement je ne me souvenais même plus avoir quitté ma chambre, je manquais de sommeille ! Je passais depuis près d'un mois mes journées dans ma chambre, assise près de la fenêtre le regard dans le vide à penser et parfois je faisais le vide dans ma tête, mais je ne bougeais pas, le soir je me trainais à mon lit et je fixais le plafond en tâchant de m'endormir, seulement je savais que si je fermais les yeux je reverrais ses horribles images, alors parfois quand je n'avais pas la force d'aller me coucher je restais assise sur ma chaise , combattant la fatigue, mais je finissais toujours par m'endormir et le film recommençait. Je ne mangeais pas souvent... En réalité ici, je n'avais jamais souvent manger, alors j'étais maigre. Ce n'était pas beau, je ne ressemblait à rien, d'ailleurs je n'osais plus me regarder dans un miroir, souvent quand j'allais dans la salle de bain je baissais le regard pour ne pas me voir et la dernière fois que j'avais malencontreusement croisé mon reflet, j'avais vue une fille aux joues creusés, aux côtes visibles... trop visibles, et de grandes cernes s'étiraient sous ses yeux. Depuis je ne m'étais plus regardée, je m'étais évité. Je mangeais pour vivre, je dormais pour tenir debout, voilà tout. Plus de maquillages, je laissais mes cheveux pendre lâchement, je m'habillait de tee-shirts larges et de vieux jeans, et enfaite de tout ce qui me tombait sous la main. La fille gourmande et qui aimait prendre soins d'elle avait disparut, comme si elle était différente de moi, comme si je l'avais laisser dans un coin. Complètement oubliée... Mais ce n'était peut-être pas totalement de la faute de James, non, à mon avis, il n'avait été qu'un declancheur, que le point final de la séparation entre la moi d'avant et la fille sèche et invisible que j'étais.
    J'avais continué à avancer, je devais me reprendre, je décidai donc de faire demi-tour et au moment même où je tournais les talons, une voix masculine s'éleva derrière moi, j'en eut des frissons je n'étais peut-être plus qu'une âme en peine, mais je vivais encore et même si ma vie ne rimait plus à rien, quelques chose qui brûlait en moi m'aidait à tenir le coup. Ce quelques chose était l'espoir, mais parfois il semblait si petit, si insignifiant que je n'y prêtais plus attention, maintenant, à cet instant précis il se manifestait, il me disait de fuir, je me devais de l'écouter, je commençais à courir, mes jambes étaient trop fragiles, sa me faisait mal, soudain, on agrippa mon bras, c'était la même voix d'homme que je connaissait pour l'avoir entendu une fois quand j'étais passée devant une salle de laboratoire où visiblement la fille sur qui ils faisaient des testes c'était rebellée et sa avait mal tourné alors je l'avais entendu lui parler d'une voix douce, mielleuse et détestable et tout à coup je n'avais plus entendue la fille crier, quelques minutes plus tard, j'avais vue de la salle sortir comme une table à roulette, celle qu'on voit dans les hôpitaux et qu'on appelle "Tables d'opérations" dessus, il y avait un grand draps blanc qui recouvrait quelques chose et sur un des côté une main inanimée pendait lâchement.
    Je me retournai, prise de panique, mes yeux devaient le laisser voir car je vis sur le visage de l'homme blond un sourire narquois apparaitre. Il me donnait la nausée.

    - Tiens, tiens ma jolie. Alors on essaye de s'échapper? Sa tombe bien, je cherchais quelqu'un dans ton genre !


    Je ne pouvais pas répondre, ma gorge était trop sèche, j'étais fatiguée, j'avais peur, il était encore tôt dans la matinée, j'avais envie de crier, je n'y arrivais pas. C'était comme dans ses rêves où on essaye de parler, de sauver sa vie mais aucun son ne sors de sa bouche alors on panique et on se réveille parfois en pleurant, là, je savais que même si je paniquais je ne me réveillerai pas. Il me tira derrière lui comme un objet me fit entrer dans un des laboratoire. Il n'était pas particulièrement violent en apparence, c'était ça qui me faisait peur.

    - Retires tes vêtements et allonges toi.


    Voilà, c'était repartie, j'étais à nouveau embarquée dans ce train à destination de l'enfer, ce train qui cette fois peut-être s'arrêterai en route pour me laisser descendre et mourir.
    Je m'exécutai, avais-je le choix? Me débattre ne ferais qu'agraver les choses, je devais profiter des moments où je n'avais pas encore mal. Après tout, tout ça était de ma faute, je n'aurais pas dut me balader ici. Après avoir enlever mes habits, je me retrouva en simples sous-vêtements et je me couchai sur une table en acier. C'était froid, glaciale même et à côté de moi, il y avait une autre petite table avec pleins d'instruments de tortures, dont j'en reconnu certains pour êtres des couteaux.
    Je le vis s'approcher de moi, toujours le même sourire au lèvre, il enfila des gants, j'allais souffrir. Puis il attrapa un petit objet muni d'une grosse pointe et sans prévenir, il me pris le bras et enfonça l'ustensile dans mes veines. Je poussai un cri sur-aigu, la douleur vint immédiatement. Et aussi violemment qu'il m'avait enfoncer l'arme, il me l'arracha du bras, je crois qu'il était près de l'os. Je baissa le regard, je criais et des larmes glissaient toutes seules sur mes joues, j'étais devenue si fragile, mon bras, ma main étaient couverts de sang et j'avais un gros trous bordeaux dont le liquide rouge n'arrêtais pas de s'échapper, maintenant, peut-être que j'allais mourir en perdant tout mon sang, il y avait des chances, en attendant, le scientifique ou plutôt le démon blond était allé cherché une machine bizarre qu'il m'enfonça sur le crâne.

    - Ne pleure pas comme ça, tu n'as pas encore vue le pire ma chérie.


    Sa voix était trop douce, j'avais mal et je ne voulais pas tester sa machine de malheur, qu'il me laisse crever tranquille ! Soudain, j'entendis la porte s'ouvrir à la volée, puis je sentis que quelques chose serrait ma tête, la machine devait avoir été mise en route, et soudain, mon énergie s'envolait. Qu'est-ce qu'il se passait?
    Malgré la douleur, j'essayai de me concentré pour voir à travers le plafond, mais ma vue se brouillait, il me volait mon pouvoir ! Je sentais qu'il y avait de l'agitation autour de moi, mais tout allait si vite. Peut-être allais-je enfin partir de ce monde de fous?
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James Laurens
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MessageSujet: Re: Expérience en détresse !   Expérience en détresse ! Icon_minitimeJeu 22 Avr - 0:41

    « Bouges toi James ! Merde ! », je ne cessais se me répéter cette phrase, pour autant, je n’avais gout à pas grand-chose. Pourquoi ? Je n’en savais strictement rien. Les choses me paraissaient sans intérêt, un peu comme après la mort de Marie. Depuis quand étais je devenu ainsi ? Depuis Elisabeth…la réponse s’imposa à moi comme une évidence. Elisabeth… Elisabeth et son fin visage, ces traits épurés et… Non mais James ! Reprends-toi! Je n’avais parlé à la jeune qu’une fois, et, c’était triste à avouer, mais avec ce que je lui avais fait, elle ne risquait pas de me parler. Je l’avais croisé, quelques fois dans les couloirs. Elle n’avait pas paru me voir, son visage restait fixé sur le sol, ces yeux paraissaient ternes, sans vie. Et quand je passais à côté d’elle, mon dieu, ce que je ressentais étais effrayant parce que justement, je ne ressentais rien. Rien qu’un vide, une absence de vie. Comme si, depuis ce jour, depuis que je lui fasse si mal, elle était morte intérieurement.
    J’avais de plus en plus de mal à exercer mon métier. Moi qui au départ y avait vu comme une vengeance envers la mort de la femme que j’aimais, aujourd’hui, il m’en coutait de les blesser. Je ressentais de plus en plus vivement les émotions des autres. Et même si j’essayais de rejeter cette idée, c’était ainsi, j’avais un don, que je niais certes, mais là. Ici, tout était plus violent, plus présent. Ces adolescents passaient par des émotions presque brutes, il n’y avait pas de demi-mesure dans cet enfer. Soit ils étaient très heureux pour je ne sais qu’elle raison, soit ils tremblaient de peur à l’idée d’une nouvelle expérience farfelu .De se fait, je me sentais mal quasi en permanence. Sans réellement savoir pourquoi…
    Allongé sur mon lit, j’observais le plafond, serrant entre mes doigts une balle. Puis soudain, j’eu peur. Peur comme jamais. Mon corps se mis à trembler, mon cœur s’emballa, j’avais envie de vomir, de fuir. Fuir ou ? Fuir qui ? Je n’en savais rien. Une seule pensée raisonnée dans ma tête comme si c’était la mienne « par encore. Quelqu’un ». La seule certitude que j’avais, c’est que je n’étais pas à sauvé. Un adolescent devait souffrir, mais pourquoi ressentais-je ces émotions avec tant de puissance, tant d’intensité ? Je n’en savais rien. Ma respiration était saccadée et c’est légèrement étourdis que je m’assis, main contre mon front. Il fallait que je réfléchisse, il fallait que j’aide cette personne avant de devenir fou. La peur en moi continuait de grandir, je ne pensais pas cela possible. Je me levais, titubant jusqu’à la porte et l’ouvrais après m’être rater à plusieurs reprise. Il y avait beaucoup de bruit dans le couloir, certain élèves qui passaient par là me jetèrent des coups d’œil surpris. Je ne savais pas dans quel sens allé. Je décidais à gauche, au bout de quelques pas, je me rendis compte que plus j’avançais, plus je me sentais mal. J’étais sur la bonne voix. Le sentiment que je ressentais était un peu comparable à la douleur que je ressentais près d’Elisabeth, tout aussi effrayant et surprenante.
    _Oh putin, murmurais en réalisant.
    C’était ça ! Ca ne pouvait être que ça ! S’était Elisabeth. Les neurones dans mon cerveau parurent enfin se rencontré car je réussi à me redresser et à refouler un peu le mal qui me rongeait. Elle avait peur ! Et imaginé le pourquoi de cette peur me terrifiait. Je ne voulais pas qu’elle ai mal. Non, n’importe qui, mais pas elle. Pas cette jeune fille qui m’avait rappelé que j’étais un être humain. Et qui, en la regardant, me faisait tant pensée à Marie. Je ne pouvais pas l’accepter. Et c’est peut-être pour sa que mes pieds décidèrent enfin d’accélérer et coururent jusqu’au laboratoire.
    La labo était à quelques mètres, et j’avais une certitude, Elisabeth était dedans. J’avançais et ouvrit la porte à la volé. La, je pus la voir. Allongé sur une table en fer, je pouvais voir la chair de poule sur son corps décharné. Le sang sur son bras me frappa. Comment avait il put ! Je relevais un regard vers le scientifique et recconu Jack, un garçon un peu fou…Un peu comme moi. Ivre de rage envers ces adolescents plus que particuliers. Il venait de poser un casque sur sa tête.
    _ Enlève lui sa ! Criais je en reconnaissant l’appareil.
    C’était moi qui l’avait fait, moi qui l’avait construit. Et je savais à quoi il servait… Se que je ne savais pas, c’est qui l’utilisait. Ce casque permettait de prendre l’énergie de l’élève, capturer l’essence de son don. Mais, il était mortel. Je courus jusqu’à la table. J’attrapais l’appareil que je tirais violement et lachais. Celui-ci tapa contre un mur et se cassa.
    _Mais que fais tu !? Hurla Jack.
    _ Non toi que fais-tu ? Criais je à mon tours sans pouvoir m’en empêcher. C’est mon invente, et je ne t’ai pas autoriser à l’utiliser !
    _ Ca fait bien trois semaines qu’elle est là, je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas m’en servir !
    _ Parce qu’elle tu les patients !
    _ Et alors ?

    Son ton, froid et sans appel me fit reculer de quelque pas. La peur que je ressentais s’était tu. De toute évidence, Elisabeth s’était évanoui. Mais elle avait été remplacé par une haine indescriptible. La haine de Jack. Je ne connaissais pas beaucoup se type. Mais il n’avait pas l’air de les aimer. Pas du tout. Je jettais un coup d’œil à l’adolescente, son bras continuait de suinter. Il fallait que je la sorte de là. Rapidement !
    _ Nous n’avons pas le droit de les tuer et tu le sais.
    _ Et eux ? Tu crois qu’ils s’en priveraient de nous faire la peau ?
    _ Va t’en Jack, et je ne rapporte pas se problème au directeur.
    _ Tu n’oserais pas ?
    _ Casse-toi !

    Il me lanca un regard plein de défit.
    _ Magne !
    Il parti, trainant des pieds, n’oubliant pas de me laisser une menace « Je m’en souviendrais James. T’inquiète. ». Qu’il s’en souvienne, je m’en fichais. Qu’elle meurt, un peu moins. J’accouru à ses côté et aussitôt posait mes doigts sur la plaie. Elle grimaça, paraissant s’éveillé.
    _Elisabeth, écoute moi.
    La peur que je ressentais avant commença à grimper. Bon…Elle s’éveillait.
    _Calme toi, chuchottais je doucement. Calme toi, je ne vais pas te faire de mal.


    HJ: Ahhh sa faisait lonnngtempps *___*
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Elisabeth A. Stefan
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MessageSujet: Re: Expérience en détresse !   Expérience en détresse ! Icon_minitimeJeu 22 Avr - 23:10

    Il était malade. Ils étaient tous malades ! C'était la seule explication à leurs comportement. Comment pouvait-on, sourire aux lèvres détruire la vie de quelqu'un à coups d'ustensiles bizarres? C'était un asile de fou ici ! Et nous on était des jouets pour les amuser, ça ne pouvait être que sa. Mais pourquoi on nous avait choisis nous? Des adolescents? Ils auraient put prendre des vieux ! Apparemment il y en avait assez, alors pourquoi s'attaquer à nous? On avait jamais rien demander. Je n'ai jamais demander à avoir de "don" et d'ailleurs, qui avait appeler sa "dons"? Moi j'aurais dit " malédiction", sa ne méritais pas mieux. On nous tuait, on nous blessait, on nous testait et nous faisait souffrir tout les jours. Pour quoi? Pour qui? Quand est-ce qu'on partirait? Est-ce qu'un jour au moins on serait libres? Aurait-on un jour le droit de vivre une vie normale, avoir un métier et fonder une famille? Est-ce que l'on m'accorderais sa un jour? Est-ce que j'y aurais le droit?
    Il ne fallait pas rêver. J'allais mourir, je ne pouvais pas le nier maintenant. Je perdrais trop de sang, je mourais et peut-être qu'ensuite je pourrais goûter au paradis? Qui sais peut-être qu'il y aurait quelques chose de bien pour moi? Le soleil après la pluie? C'était ce que je voulais maintenant. Qu'on me laisse agoniser, souffrir le martyre et qu'enfin j'ai ma paix.
    Des voix c'étaient élevés autour de moi, mon énergie quittait mon corps, mais je ne savais pas si elle partait plus vite au niveau de mon bras blessé ou vers ce drôle de casque qui encerclait mon crâne. Bizarrement, je sentais de moins en moins mes membres, mais je ne paniquais plus, c'était comme si quelqu'un avait jeter de l'eau sur la petite flamme que j'avais appelée "espoir", j'avais déjà vécue sa, mais la première fois, j'avais bien plus souffert car je m'étais tellement accrochée, aujourd'hui je n'en avais plus la force, alors je me laissais aller. C'était bien plus facile que de se battre, c'était comme ce laisser tranquille porter par le courant, sans résister , vers les chutes d'eau où l'on risquait d'y laisser sa vie, au lieux de nager désesperemment en contre-courant en attendant qu'on vous tende une main qui n'arriverait jamais. Oui, tout était bien plus simple, parce que la vie est dur, mais la mort tellement tranquille, il suffit de ne rien faire, juste d'attendre qu'elle vous emporte dans sa barque.
    Mais soudain, je sentis qu'on enlevais du poids sur ma tête, quelqu'un avait retiré la machine, des voix s'énervaient autour de moi. L'une des voix appartenait au blond et l'autre ne m'étais pas inconnue... c'était celle de... Mon cœur déjà affaiblit fit un petit raté alors que je ne sais pourquoi, "espoir" semblait être de retour à mes côtés, sans que je ne l'y ai volontairement invité. C'était James mon bourreau-sauveur et à ce que je comprenais de leurs dialogue il ne semblait pas très heureux, mais je ne savais pas pourquoi, en tout cas je devais y être un peu pour quelques chose...
    Ils se hurlaient dessus alors je j'essayai avec beaucoup de mal d'entre-ouvrir mes yeux qui c'étaient fermés d'eux mêmes. Je voulais les voir, je voulais voir ce qu'il se passait autour de moi, mais j'avais tellement de mal à ne pas m'endormir et mon corps était si lourd et mes paupières ne semblaient pas vouloir se lever. J'y parvins tout de même quelques secondes, le temps de voir le visage de James complètement déchirer de colère, un battement se perdit à nouveau. Je ne me sentais pas bien, j'essayai de lancer un regard à mon bras et ce que je vis ne me rassura pas : une flaque de sang entourait mon bras de toute part. Mais je ne voulais plus mourir, pas tout de suite, pas encore, j'avais encore des choses à faire. C'était certain.Mais que faire?
    Soudain, je sentis qu'on appuyait sur ma plaie, je poussai un léger grognement, combien de temps c'était écoulé depuis que j'avais ouvert les yeux pour la dernière fois? Une éternité non? Mais il ne fallait pas que je m'endorme, je ne devais pas ! Une voix à la fois si lointaine et si proche de moi m'appelai et je luttais contre le sommeille, je nageais enfin à contre-courant, parce que je savais qu'on allait me tendre la main, Espoir me l'avait dit.

    _Elisabeth, écoute moi.


    Oui, c'était ce que j'essayai de faire, mais c'était tellement difficile, j'ouvris mes yeux dans un effort sur humain et j'essayai de bouger mais je n'y arrivait pas. Il ne pouvait pas être trop tard ! Je devais réussir à m'en sortir, je souleva ma tête et aussitôt elle retomba sur la table dans un bruit plutôt désagréable, j'étouffai du mieux que je le put. J'avais maintenant tellement peur de m'endormir pour toujours

    _Calme toi. Calme toi, je ne vais pas te faire de mal.


    J'arrêtai de bouger, je pris une profonde respiration, je savais bien qu'il ne me ferait pas de mal, je le sentais. Je voulais lui dire, j'ouvris la bouche mais je n'arrivais pas à parler, les mots restaient coincés dans la gorge. Voilà j'en étais à la deuxième étape du rêve, après la course sur place, à nouveau l'impossibilité de communiquer. Alors que j'étais en pleine inspiration, j'eus l'impression qu'une pierre venait de percuter mon cœur, je toussa, mes yeux se fermèrent et un rideau noir tomba sur moi. Je m'en allait.


    Etais-je au paradis? Ou bien autre part? A en croire la forte lumière qu'il y avait au dessus de mes yeux je ne devais pas en être loin... Les dernières images de ma vie me revinrent en mémoire et j'eus un sursaut, je me redressai, les yeux grands ouverts, après une seconde, ma tête me fit mal, mon bras aussi et j'avais du mal à voir clairement ce qu'il y avait autour de moi, était-ce possible de sentir encore ses blessures, même dans le ciel... Ou alors j'étais en enfer? Mes yeux s'habituèrent doucement à la clareté du jour et peu à peu je pris conscience de ce qui m'entourait. J'étais assise sur un lit plutôt dur, j'étais dans une chambre impécablement bien rangée, les rideaux étaient ouverts et laissaient entrer un soleil presque couchant.
    Je reconnaissant ses draps et ses meubles en bois sombre, j'étais encore dans cet internat. Et...je... j'étais en vie ! Je portai ma main à ma tête, mon front était humide et chaud, j'avais de la fièvre, je baissa alors le regard vers mon bras, il y avait tout autour une bandage blanc et de drôles de câbles transparents dans lesquels passait un liquide rouge semblait entré sous ce bandage et surement sous ma peau, mais je ne savais pas où était l'autre bout des tuyaux, je me dis qu'on devait être entrain de me recharger en sang ou un truc dans le genre. Après tout, je n'étais pas médecin, je ne pouvais pas savoir.
    Je scrutai encore la chambre, elle était vide, je me souvient de ce qui c'était passé, tout était allé si vite et ma douleur était encore plutôt vive. Mes pensés désordonnés tourbillonnaient dans ma tête, tout ce mélangeait et j'avais a vrai dire un peu de mal à tout mettre en ordre. C'était la deuxième fois en près d'un mois que je frôlais la mort. Je laissa retomber ma frêle main sur les draps blancs. Qu'allais-je faire? Je ne pouvais pas partir. Et où était James? C'était bien lui qui m'avait sauver? Ou alors je divaguais? Non... surement pas.
    Soudain, la porte s'ouvrit. C'était lui. Je restai figée un instant, puis j'eus un mouvement en avant, comme pour me lever mais je me ravisai, je ne pouvais pas bouger. Je lançais un rapide coup d'œil à une horloge, elle indiquait 17 heure et quelques, j'espérais n'avoir dormis qu'au long de cette journée. Devant l'abscence de paroles je planta un regard un peu incertain vers James et dit :

    - Bonjour... J'ai dormis longtemps?
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James Laurens
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MessageSujet: Re: Expérience en détresse !   Expérience en détresse ! Icon_minitimeVen 23 Avr - 0:01

    _Calme toi. Calme toi, je ne vais pas te faire de mal.

    Elisabeth me dévisageait, presque sereine. J’étais assez surprise, pour une fois, elle parraissait calme, presque rassuré. Elle ouvrit la bouche, toujours en me regardant et commença à articuler quelque chose mais aucun son ne sorti de sa bouche. Je lui jettais un sourire rassurant. Son mutisme devait résoudre du choc de la machine. En même temps, je préfèrais qu’elle soit aphone plutôt que morte. Soudain je vis ses yeux se révulser, son corps se tendit elle toussote plusieurs fois avant de sombrer.

    _Et merde !

    Aussitôt je me penchais sur elle et tâtais son pou. Elle était en train de me faire un arrêt cardiaque ! Heureusement que nous étions dans le labo car celui-ci était équipé pour se genre de … soucis. Les expériences pouvaient mal tourner parfois. Je cherchais donc le défibrillateur et après, légèrement tremblant le posait sur le corps de la jeune fille déjà presque nu. Les secondes s’égrainaient et le temps parut s’éterniser. Elle était morte, pourtant je ne pouvais pas l’accepter. Pas part ma faute ! Pas avec ma machine ! Non ! Le visage de Marie hantait mon esprit alors que j’augmentais la tension de la machine.

    _Vis Elisabeth !


    L’angoisse se mit à gonfler dans ma poitrine. J’avais l’impression que si Elisabeth mourrait, je mourrais aussi. Pourquoi ? Je ne savais pas vraiment mais une seule phrase raisonnait dans mon esprit « Pas comme Marie. Non. Je ne peux pas l’accepter ». Je me surprenais d’ailleurs à penser cela. Après tout, Elisabeth n’était qu’une élève parmi d’autre. Il était assez étrange que je sois aussi connecté, voir lier à elle. Je comprenais soudainement pourquoi je me sentais si mal ces derniers temps. S’était de sa faute à elle. Ces changements d’humeurs m’affectaient beaucoup plus que je n’aurais pus le pensé. J’avais remarqué que depuis notre petite « altércation » Elisabeth avait perdu sa joie de vivre. Ce que je n’avais pas vu c’est que moi aussi, et en même temps…

    _Vis Elisabeth !

    Comment n’avais-je pas pus remarqué ?! Mais pourquoi ? Pourquoi elle et pas une autre ? Non…Je…Non ! Je chassais l’idée sotte qui venait de traverser mon esprit quand soudain, un sentiment, que j’aurais put reconnaitre entre mille me saisit, un mélange d’espoir et de douleur… L’essence même d’Elisabeth. Je ne pus m’empêcher de sourire en lachant l’appareil qui lui avait redonner la vie au sol. Je me laissais tomber à genoux, fatiguer et posais ma main sur mon front, caressant ces cheveux.

    _ C’est fini Elisabeth. Ne t’en fais pas.

    Je passais mes bras sous le dos et les genoux de la filles, puis la portait jusqu’à l’infirmerie. Là, la vieille femme m’acceuillis tout d’abord avec le sourire puis surprise. Je savais qu’elle n’était pas d’accord avec les méthodes employés ici. C’était d’ailleurs l’une des seuls à défendre. Elle me m’emmena tout de suite dans uen pièce un peu à l’écart quand je lui expliquais que j’avais sauvé Elisabeth d’une des expériences qu’elle condamnait. Je posais la belle au bois dormant sur le lit et la couvrait.

    _ Mais que lui est elle arrivé Monsieur Laurens ?
    _ Quelqu’un a utiliser sur elle une machine mortelle. Par chance, j’ai pus intervenir. Mais Jack à eu le temps de lui entailler le bras et elle à fait un arrêt.


    La vieille femme parut effrayé et avait posé une main sur sa bouche.

    _ Un arrêt ? Son poignée ? Vous voulez dire qu’il a entaillés ces veines ? Elle a perdu beaucoup de sang ! Mais vous êtes fou de me l’ammener juste maintenant !
    _ Calmez vous. J’ai fais se que j’ai pus.
    _ Vous les scientifiques… vous me dégoutez.


    Je ne dis rien. Elle avait parfaitement raison. Je me dégoutais. Et ils me dégoutaient tous.
    La vieille femme désinfecta une nouvelle fois la plaie de la jeune fille, ensuite elle lui posa une perfusion avec du sang car elle en avait perdu pas mal, elle la brancha à divers machine qui raisonner dans la salle, nous laissant constater de la vie d’Elisabeth. Je restais toute la nuit avec Elisabeth, je n’arrivais pas à partir, j’avais peur qu’elle meurt. Peur qu’elle me laisse. Au matin, j’étais toujours là qu’en l’infermière débarqua.

    _Vous n’avez rien mangé ! Vous êtes fou ! J’en ai déjà assez d’elle ! Ouste ! Vous reviendrez quand vous aurez dormis !
    _Mais j’ai dormis.
    _ Alors allez manger.


    Elle me chassa à coup de claque. Je ne pus qu’exécuter ses ordres et aller dans la cantine déjeuner avec tout le monde.
    Je croisais Jack, et plusieurs fois il me jeta quelques regards. J’étais assez surpris qu’il n’ai pas parler de mon écart aux autres car ils m’accueillirent tous avec le sourire. Je mangeais mon croissant sans appétit, et dés que je pus, je repris la direction de l’infirmerie dans l’espoir qu’elle soit éveillé. Je saisissais un pain au chocolat et pris la direction de la sortie. Le couloir était vide quand quelqu’un m’interpela.

    _ James !
    _ Qu’est ce que tu me veux Jack ?!
    _ Oh, sois pas si grognon, elle est pas morte la mioche. Je savais pas que tu te la faisais c’est tout…j’la toucherais plus…


    Ce fut sans réellement comprendre se qu’il se passait que je le plaquais au mur et dit d’une voix froide et menaçante.

    _ Je ne me la fais pas. Mais si un jour, tu as une nouvelle fois l’idée de lui faire du mal. Je te tue. Compris ?

    Il hocha la tête. Je parti sans rien ajouter. Quand enfin, j’entrais dans l’infirmerie Elisabeth n’étais toujours pas éveillé. La vieille femme dut voir mon air dépité car elle promit de m’appeler quand elle s’éveillait. Je décidais de lui faire confiance et sortie.
    C’est aux environs de 17 ou 16 heures que mon portable bipa. Elisabeth était enfin révéillé ! Je ne pus m’empêcher de prendre la direction de l’infirmerie et de lacher tout se que je faisais. Quand j’entrais dans la petite salle blanche, la jeune fille était éffectivement debout. Elle me fixa quelques instants, parrut vouloir bouger mais se ravissa. Elle jetta un coup d’œil à l’horloge puis soudain demanda :

    _ Bonjour... J'ai dormis longtemps?
    _Heu…Un jour et demi à peu près.


    Ma réponse parrut légèrement la surprendre… ou pas…j’avais du mal à lire en elle cette fois… peut être parce que je me sentais bien, de se fait elle devait sûrement elle aussi aller. Je m’assis sur le tabouret qui était près de son lit et m’assis. Je lui souris.

    _ Tu ne dois pas vraiment comprendre pourquoi je t’ai aidé…

    Pourquoi j’avais soudainement cette furieuse envie de tout lui déballer. Elle, une jeune fille de quoi ? 16 ans ? 17 ans ? De lui raconter mon plus grand démon, lui expliquer pourquoi parfois la nuit je me reveillais en sueur et en hurlant. Pourquoi je haissais chacun des adolescents peuplant cet internat.

    _ J’aimais une femme tu vois…Elle…elle était vraiment très belle. Je me serais sûrement marier avec elle…Si j’avais pus. Si j’avais eu le temps. Mais elle est morte… Du jour au lendemain. Pas d’une mort accidentelle non…elle c’est fait tuer. Tuer…par…par…par quelqu’un comme…Toi.

    Avais je le droit de la comparer au monstre qui m’avais arracher Marie ?

    _ Je vous detestais tous après sa. Je savais que je ne pourrais jamais arrêter l’assassin de la fille que j’aimais…alors j’ai exorciser mes démons en me vengeant sur d’autre. Tu as sûrement était le point culminant de ma haine… et de ma renaissance aussi.


    Je ne pus m’empêcher de poser ma main sur sa joue et de caresser celle-ci, distraitement.

    _ Tu lui ressemble tellement…que…sa en est douloureux parfois…

    HJ: Hou....C'est long là...
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Elisabeth A. Stefan
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MessageSujet: Re: Expérience en détresse !   Expérience en détresse ! Icon_minitimeVen 23 Avr - 18:34

Hj; je confirme et moi je sens que je vais commencer à battre de l'aile niveau rp ! Aller, je vais faire ce que je peux !

    Oui. C'était lui qui m'avait sauver... En partie au moins car je découvris bientôt que ce que je pensais être une chambre normale, ressemblait plutôt à l'infirmerie. Je n'y étais jamais allée, mais on m'avais dit grand bien de l'infirmière apparemment beaucoup se confiaient à elle, c'était à ce qu'on disait une personne plein de bonté et de confiance. J'aurais peut-être dut chercher de l'aide auprès d'elle, mais cette idée ne m'avais jamais réellement traverser l'esprit, et si elle m'était venue ce n'était alors qu'en une fraction de seconde après laquelle j'avais balayer la proposition loin de moi. Je pensais que me confier me rendrais encore plus faible que je ne l'étais déjà, il fallait que je prenne tout sur moi; le mal, aussi bien physique que moral était une chose qu'on ne partage pas. Si j'avais raison ou bien tort je ne le savais pas, mais peut-être le fait de me confier aurait changer ma vie.
    Je me demandais également ce qu'ils avaient bien put faire pour me remettre sur pieds... Enfin je n'étais pas encore debout et je sentais bien que j'étais faible, mais tout de même on était loin de l'hôpital spécialisé en cas quasi morts, ce n'était ici qu'une simple infirmerie alors comment avaient-ils fait pour survenir à mes soins? Etait-il possible que je n'ai pas été si mal en point que je le pensais? Je me rappelais pourtant avoir été au bord de la mort, je me souvenais de cette douleur indescriptible puis de ce relâchement, comme si l'on quittait son corps, que l'on devenait plus léger que l'air et qu'on s'en allait. Je ne pouvais tout de même pas avoir rêver tout ça ou exagérer à cause d'un sommeil peut-être trop long.
    Et si j'avais dormis plusieurs mois? C'était possible ! Après un tel choc ce n'étais peut-être même pas étonnant ! Et si il était arrivé quelques chose à Lola pendant mon sommeil? Savait-elle au moins que j'étais là? S'inquiétait-elle pour moi? Etait-elle venue me voir? Allongée sur mon lit blanc, plongée dans un profond sommeil? Je pris une profonde inspiration, j'exagérais quand même un peu là. Cependant, je bloquai ma respiration en attendant la réponse de James.

    _Heu...Un jour et demi à peu près.

    Je faillit lâcher un gros soupir mais je me retins et souffla simplement l'air que j'avais retenue. Deux jours ce n'était pas une catastrophe, j'étais extremement soulagée de ne pas avoir dormis plus longtemps. Cependant, je sentis la faim tenailler mon ventre, je ne mangeais peut-être pas souvent ici, mais quand même, je n'avais pas vraiment l'habitude de sauter un repas, même si je n'y grignotais qu'une pomme mais là, je venais de sauter cinq repas d'affilé. Sa faisait peut-être un peu beaucoup... J'enroulai mon bras droit ( celui qui n'était pas retenu par ses fils rempli de sang aux quels je n'osais plus lancer de regard sous peine de me sentir mal ) autour de mon ventre, serrant un peu plus la couverture vers moi.
    Donc Lola ne devais pas être au courant... J'espérais juste qu'elle allait bien. Mine de rien... Elle me manquait. Sa faisait longtemps qu'on ne c'était pas parler, a vrai dire depuis l'épisode de James on ne c'étaient presque évités, mais le simple fait de la voir parfois aux repas me calmait.
    Je me demandai un instant ce qu'il était advenu de l'autre scientifique blond, mais bien vite je l'oubliai en voyant James s'asseoir à ma gauche sur un petit tabouret. Je me redressai un peu et m'adossai au mur derrière moi, à demi-assise sur mon coussin.

    _ Tu ne dois pas vraiment comprendre pourquoi je t’ai aidé…


    Bizarrement, je ne m'étais même pas posée cette question. J'avais tout pris comme ça, comme si c'était normale que je scientifique qui -je le rappelle- avait également faillit mettre un terme à mes jours. Qui sais, j'avais peut-être aussi le don de me lier d'amitié avec les gens qui en voulaient à ma vie? En tout cas, je ne savais pas exactement pourquoi mais quand il était rentré dans le laboratoire, j'avais tout de suite été rassurée au lieu d'être effrayée... Peut-être que je me disais aussi que ça ne pourrait pas être pire... C'était une hypothèse mais maintenant qu'il le disait c'était vrai que je n'avais pas réfléchis au fait qu'encore une fois il m'avait sauvée alors qu'il aurait très bien put passer son chemin. J'essayais d'imaginer les raisons pour lesquels un scientifique passionné dans son travail, d'une minute à l'autre, alors qu'il était entrain de torturer une adolescente quelqu'on que, se met à avoir des regrets, soigne sa victime et un mois plus tard la sauve à nouveau des griffes d'un autre scientifique cette fois-ci. Il avait eut pitié? Je ne voyais pas d'autres solutions, sa ne pouvait-être que ça... Ou alors... Ou alors il avait découvert un pouvoir très précieux en moi qu'il voudrait utiliser à des fins personnelles? Non, c'était peu probable... Enfin j'osais l'espérer ! Je ne répondis pas, le regardant simplement attendant qu'il continue.

    _ J’aimais une femme tu vois…Elle…elle était vraiment très belle. Je me serais sûrement marier avec elle…Si j’avais pus. Si j’avais eu le temps. Mais elle est morte… Du jour au lendemain. Pas d’une mort accidentelle non…elle c’est fait tuer. Tuer…par…par…par quelqu’un comme…Toi.


    Là. J'étais perdue. Ces scientifiques avaient donc une vie? Et de plus une raison pour nous haïr ! Et quel raison ! J'étais partagée entre trois sentiments, la peine, la compassion et cet espèce de petite gêne à laquelle je n'arrivais pas à donner de noms et qui me disait que ce n'était pas de ma faute, que je n'avais pas choisis d'avoir des dons, personne n'avait choisis et en plus, ce n'était pas moi qui avait tuer sa femme. C'était comme d'être accuser d'être blanc, noir, jaune ou n'importe qu'elle autre couleur de peau ! Mais je comprenais aussi. Parce que c'était dur, parce que c'était horrible, tragique et que quoi qu'il arrive on a cette haine en nous, qui n'est jamais assouvie, parce que la personne est morte et que quoi qu'on fasse, jamais on ne pourrait la faire revivre. J'avais connue la mort d'un amie proche un jour, sa m'avais fait cet effet là, sa devait être aussi un peu ces ressentis. Et d'ailleurs n'en voulions nous pas nous aussi à tous les scientifiques? Certains étaient peut-être bons, peut-être même que certains avaient été forcés, comme nous de venir ici? Ce n'était pas impossible.

    _ Je vous détestais tous après sa. Je savais que je ne pourrais jamais arrêter l’assassin de la fille que j’aimais…alors j’ai exorciser mes démons en me vengeant sur d’autre. Tu as sûrement était le point culminant de ma haine… et de ma renaissance aussi.


    Mon cœur se serra, j'eus un peu plus mal à ma tête. Le mot détester resonna dans ma tête. Il me faisait mal, on aurait dit un cauchemar familier qui reviens, quelques chose qu'on connait si bien, mais qu'on déteste et qui reviens quand même, sans arrêt. J'avais donc bien compris tout sa n'était donc qu'acte de désespoir à cause d'un amour perdu. Je baissai les yeux. J'étais le point culminant, mais pourquoi? Qu'est-ce que j'avais fait pour ça? Je ne me le demandais pas plus longtemps, car la réponse vint immédiatement. Soudain, James posa une main sur ma joue, je sursautais et je levai des yeux paniqués vers lui.

    _ Tu lui ressemble tellement…que…sa en est douloureux parfois…


    Nouveau choc. Mon cœur eut un deuxième raté, je cherchais du regard un échappatoire. Alors c'était pour ça? Parce que je ressemblait à la femme qu'il avait aimé qu'il m'avait sauvé? Parce que j'avais le même physique que son amour mort? Je ne pouvait pas l'accepter, c'était tellement bizarre, tout semblait se chambouler dans ma tête. Que penser? Que c'était bien? Mal? Bien parce qu'au moins il m'avait sauver? Mal parce que ce n'était pas sain. Tout ça était trop bizarre. Sa voulait dire que si j'avais était blonde ou rousse avec un gros nez et des yeux en amande il m'aurait laissé mourir la première fois, il m'aurait torturé à mort, il aurait continué à tuer des adolescents comme moi et je n'aurais été qu'une victime de plus sur sa liste déjà grande? Oui. Mais voilà, j'avais le même physique qu'elle, alors tout ça c'était passé. Et maintenant?

    - Je... j'ai faim.


    Je baissai les yeux, éloignai mon visage de sa main. Un frisson de dégout me parcourait. J'avais l'impression qu'on venait d'abuser de moi. Je me sentais mal. Mon mal de crâne repris de plus belle et je sentais une douleur au niveau de mon bras, je grimaçai légèrement en reculant encore un peu. Je ne savais pas quoi lui dire de plus. Je vis son visage. Je n'arrivais rien à y lire. Je pris une profonde inspiration.

    - James... Je suis désolée. Mais...


    Les mots restaient coincés dans ma gorge, j'avais du mal à parler, je ne pouvais pas le regarder en face, parce que j'avais peur d'y lire la même panique qui regnait dans mes yeux. Ma voix était douce et j'essayai de la faire la plus calme possible.

    - Je ne suis pas celle que tu aimais. Je lui ressemble seulement. Regarde ! On a peut-être dix années d'écarts tout les deux...


    J'allais ajouter << Merci de m'avoir sauver, mais je crois qu'on ferais mieux de ne plus se revoir. >> Mais les derniers mots ne passèrent pas ma bouche. Je ne pouvais plus parler, c'était trop dur pour moi, sa faisait trop de choses en même temps, ma tête tournais. Dans quoi m'étais-je de nouveau embarquée?

HJ: Ah... Ben si ça va la longueur xD
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MessageSujet: Re: Expérience en détresse !   Expérience en détresse ! Icon_minitimeVen 23 Avr - 22:37

    Quand j’entrais dans la chambre de la jeune fille, elle était éveillée. J’étais assez soulagé, voir heureux sans savoir pourquoi. Je ne cherchais d’ailleurs pas à l’expliquer. Assis près d’elle, une nouvelle fois, sans savoir pour qu’elle raison, je commençais à lui déballer ma vie. Une vie pas si rose que ça, même un peu violente. Pour autant, je ne lui donnais aucun détaille, ni sur moi, ni sur la mort de Marie. A quoi cela aurait il servit ? Je ne cherchais pas à lui faire pitié, cela ne m’aurais aidé en rien. Et puis aidé à quoi ? Je n’attendais rien d’elle, enfin… Non je n’attendais rien. Je la senti d’abord réceptive à ma douleur. Elle avait de la compassion, mais après tout, comment ne pas en avoir comme un homme vous raconte que la femme qui l’a aimé le plus au monde se fait assassiner sous ses yeux impuissants. Puis, je dus sûrement dire la phrase de trop. La phrase qui changea tout dans son esprit, et dans son regard. Je réalisais après à qu’elle point j’avais dus passer pour un pervers, alors que pas du tout. Je n’éprouvais aucune attirance pour elle, si ce n’est de l’attachement, voire de l’affection. Jamais je ne l’avais regardé comme une…femme. Comme Marie enfaite. Mais elle n’avait pas l’air d’avoir compris la différence.

    _Je... j'ai faim.

    Aussitôt, elle s’éloigna de moi et fuis mon regard comme si j’étais une immondice. Un certain dégout monta en moi. Je l’a dégoutais…

    _ James... Je suis désolée. Mais..., elle s’arrêta un instant, pesant sûrement ses mots. Je ne suis pas celle que tu aimais. Je lui ressemble seulement. Regarde ! On a peut-être dix années d'écarts tout les deux...

    Même si je m’attendais à se qu’elle ai compris les choses ainsi, je ne pus m’empêcher de trouver son idée totalement absurde. Je ne savais pas si je devais rire de sa conclusion ou en être effrayé. Alors elle m’avait vraiment pris pour un pervers ? Malgrés moi un sourire se déssina sur mes lèvres. Je me retenais d’exploser de rire. Il ne fallait pas, ce n’était pas bien. Il était compréhensible qu’elle ai compris une telle chose, après tout, j’avais caresser sa joue et lui avait dit une phrase assez ambigüe, mais tout de même. Bon, en tout cas, chaque chose en son temps. Je me levais et aller chercher le pain au chocolat que j’avais laisser sur la comode à l’entrée.

    _ Tiens, dis je en lui tendant.


    Après cela je me rassis. Bon il fallait que je m’explique… Peut être aussi que je lui explique pourquoi je l’avais sauvé. Et les bonnes raisons cette fois !

    _ Ecoute Elisabeth, je ne suis pas un psycopathe…enfin… Bon après se que j’ai fais, tu peux me voir ainsi, mais …ah je me perd ! Bon, tout se que je veux dire, c’est que je ne te vois pas comme Marie, tu lui ressembles, c’est tout. Et ça me rappelle se qu’elle était. Et aussi le fait qu’elle n’aurait pas voulu que je l’a venge de cette façon.

    Il est vraie qu’elle ne l’aurait jamais voulu. Elle était plutôt du genre à défendre la veuve et l’orphelin. Sûrement que de la haut, elle ne devait pas apprécier de voir se que je faisais. Mais… Comment lui expliquer que le seule remède à mon malheur avait été de semer la douleur autours de moi ? Comment lui faire comprendre que sans elle, c’était comme être mort ? Jusqu’à…Jusqu’à...Non!

    _ Bref…je te vois plus comme…une…petite sœur…Enfin même pas ! Je ne sais pas pourquoi Elisabeth…mais…tes émotions sont lier aux miennes…
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Elisabeth A. Stefan
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MessageSujet: Re: Expérience en détresse !   Expérience en détresse ! Icon_minitimeVen 23 Avr - 23:09

    Il c'était levé. Je me sentais vraiment mal. Je n'avais plus vraiment la force de réfléchir, il fallait peut-être que je me rendorme... Mais j'avais peur de me coucher à nouveau, de fermer les yeux... Parce que je savais qu'il se passerait la même chose que la première fois, je verrais les images encore et encore, le sang, lui, je me souviendrais de la douleur... ce serait comme quand James m'avais torturée, sauf que cette fois-ci j'avais aussi peur de ne plus me réveiller. Qui sais, peut-être que j'avais des blessures internes? Je ne voulais pas dormir, je ne voulais plus fermer les yeux, alors j'allais encore me priver de sommeil. Comme je l'avais déjà fais, jusqu'à ce que je sois trop fatiguée pour rêver... ou plutôt cauchemarder.
    Du coin de l'œil je vis James se lever et se diriger vers la sortie. Je levai la tête tout doucement, un peu intriguée. Il prit quelques chose et revint vers moi, il avait un drôle de sourire aux lèvres. Puis soudain il tendis sous mon nez ce que je reconnu être un petit pain.

    _ Tiens.

    - Merci.


    Je pris précautionneusement la pâtisserie entre mes mains et je l'approchai de mes lèvres. Puis j'en croquai un bout en faisant attention à ce qu'aucune miette ne tombe sur les draps et après ma première bouchée je découvris avec plaisir que le pain était enrobé de sucre et remplis de chocolat. James se rassit alors que je dégustait mon premier repas depuis presque deux jours. C'était tellement bon que je ne pris pas le temps de dire que j'avais aussi soif. Tant pis je boirais plus tard, de toute façon, même si ma gorge était sèche je n'avais pas le moindre mal à manger la pâtisserie, j'en avais tellement l'eau à la bouche ! Pendant ce temps, le scientifique repris la parole.

    _ Ecoute Elisabeth, je ne suis pas un psycopathe…enfin… Bon après se que j’ai fais, tu peux me voir ainsi, mais …ah je me perd ! Bon, tout se que je veux dire, c’est que je ne te vois pas comme Marie, tu lui ressembles, c’est tout. Et ça me rappelle se qu’elle était. Et aussi le fait qu’elle n’aurait pas voulu que je l’a venge de cette façon.

    J'acquiesçai sans quitter des yeux mon pain que j'essayais de manger le moins rapidement possible. Sur le fait qu'il n'était pas un psycopathe, j'avoue que j'en avais douter, mais maintenant que je connaissait son histoire, sa expliquait quelques trucs, cependant il y avait toujours des choses que je ne comprenais pas vraiment ou plutôt dont je tirais des conclusions hâtives nullement justifiés. Ensuite, à propos de Marie, j'étais plus ou moins rassurée de savoir qu'il ne confondais pas, seulement, l'instant d'après, je me souvins de sa main sur ma joue et un nouveau frisson parcourut mon corps. Je ne voulais en aucun cas que cela se reproduise.

    _ Bref…je te vois plus comme…une…petite sœur…Enfin même pas ! Je ne sais pas pourquoi Elisabeth…mais…tes émotions sont lier aux miennes…


    Une petite sœur? Je n'avais pas du tout envie qu'il me voit comme une petite sœur, sa faisait trop gamine à surveiller et je me sentais encore moins bien, encore plus fragile, comme une petite fille incapable de faire quelques chose d'elle même. Je finis le pain avec un petit soupire. Il était bon. Puis je tournai vers lui un regard interrogateur. Ses paroles me troublaient. D'abord je ressemblait à sa défunte femme, ensuite j'étais comme une petite sœur et ensuite... j'étais "même pas" ! Savoir que mes émotions étaient liés aux siennes me dérangeait un peu, c'était trop étrange trop paranorm... Soudain, je fronçais les sourcils et penchais la tête, prenant la paroles à mon tour.

    - Qu'est-ce que tu entends pas "tes émotions sont lier aux miennes"?


    C'était vrai ça. Il y avait quelques chose de bizarre là-dessous!
    Soudain, je me pliai en deux, c'était comme si on venait de me frapper à la tête, je poussai un petit cris et je me mordis les lèvres. Je sentis en plus de sa une douleur dans le bras : quand je m'étais penchée j'avais dut le bouger. Ma tête me brûlait, je fermai les yeux, respirait fort comme toujours pour essayer de me calmer. Je ne voulais pas parraître si affaiblie, je ne me l'autorisait pas et surtout, je ne voulais pas qu'on m'ordonne de dormir et qu'ensuite... on me laisse seule. J'avais besoin de présence, même si je ne le dirais jamais. Je sentis que James avait bougé, mais je ne savais pas exactement ce qu'il avait fait. Je me redressai, m'adossai à nouveau au mur, j'inspirai et ouvris à nouveau grand les yeux.

    - Ca... ça va. Je vais bien.

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James Laurens
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MessageSujet: Re: Expérience en détresse !   Expérience en détresse ! Icon_minitimeVen 30 Avr - 22:56

_ Qu'est-ce que tu entends pas "tes émotions sont lier aux miennes"?

Alors que j’allais lui répondre, elle eu comme un hoquet et se plia en deux. Je vis ses mains encadrer sa tête, la serrant comme si elle essayait de contenir quelque chose. Je comprenais rapidement qu’elle souffrait aux légers gémissements que j’entendais et à son visage rougit. Je me levais, posant une main sur son dos que je frottais doucement comme pour l’apaiser. Je sentais la peur monter dans ma poitrine. Pourquoi Elisabeth avait-elle peur ? Que je la frappe ? Quel ai des séquelles ? Puis je l’entendis reprendre longuement sa respiration, elle se redressa, s’adossement posément au mur puis ouvrit ses yeux.

_Ca... ça va. Je vais bien.

J’en doutais. Elle n’avait pas l’air d’aller bien. Comme beaucoup de gens ici après tout. Mais elle, elle avait l’air si faible, si fragile. Un frisson me parcourut. Ma main, malgrés mois s’était lever vers elle alors que j’étais toujours debout à sa droite. Au dernier moment, alors que j’allais toucher sa joue, je retrouvais mes esprits. Mon cœur s’était mis à cogner dans ma poitrine aussi vite surement que le sien. Elle ne pouvait pas me dire qu’elle allait bien. Non…

_ Ne me mens pas, soupirais je. Elisabeth, quand je te dis que nos émotions sont lier c’est que…

Allais je l’admettre ? Allais je admettre mon hypocrisie face à cette gamine ? Allais je cesser de me mentir. J’imaginais parfaitement ma reaction en apprenant la nouvelle. Et qu’elle nouvelle ! J’étais un monstre parmis tant d’autre. Peut être le pire, parce que je m’étais renier, et avait fait souffrir des gens comme moi, à cause de leur simple différence. Je baissais la tête, honteux de moi-même. J’avais peur de sa réaction. Peur qu’elle me rejette ou dénonce.

_ Je ne suis pas normal moi non plus… Je… Peux…je peux…

S’était tellement dur à admettre, les mots restaient coincé dans ma gorge.

_ Je suis comme toi ! Comme eux, dis je d’une traite, les yeux fermé.
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Elisabeth A. Stefan
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MessageSujet: Re: Expérience en détresse !   Expérience en détresse ! Icon_minitimeVen 30 Avr - 23:31

    Après que je me sois redressée, je vis sur le visage de James qu'il ne me croyait pas... Evidemment, il était dur de croire une fille qui avait faillit mourir, qui tremblait comme une feuille et qui affirmait aller très bien. Le mal de tête était tellement fort que j'avais du mal à ne pas crier à chaque fois. Et si j'avais un traumatisme crânien ou un truc dans le genre? Qui sais...
    Je vis la main de James se lever vers moi, je bloquais ma respiration à nouveau incapable de bouger, puis à l'instant où il allait toucher ma joue, sa main retomba.

    _ Ne me mens pas. Elisabeth, quand je te dis que nos émotions sont lier c’est que…


    J'attendis, la suite ne venais pas. Avait-il tant de mal à m'expliquer cette phrase si étrange? Je me posais tant de questions, alors que j'aurais peut-être du gentillement me reposer, penser à autre chose ou guérir tranquillement au lieu de torturer mes méninges.

    _ Je ne suis pas normal moi non plus… Je… Peux…je peux…Je suis comme toi ! Comme eux.


    Je mis un grand moment à comprendre ce que me disait le scientifique, et ensuite un encore plus long moment à encaisser le coup. Il était comme nous, comme les élèves de cet internat, il avait un don ! Je devais à cet instant là le regarder vraiment étrangement, je ne savais pas quoi penser. Pourquoi torturait-il des gens comme lui? Quel était exactement son don? Qu'en avait-il fait? Pourquoi? Comment? Quand? Mon visage se crispa un peu sous l'effet de la douleur de mon mal de tête.
    Je ne savais pas quoi dire.

    - Je suis perdue. Je ne comprends plus rien. Il faut que tu m'explique pourquoi tu agis comme ça alors que tu es aussi comme nous, parce que là, j'avoue, sa me dépasse cette histoire.

    Sans que je le remarque des larmes me montèrent aux yeux sans qu'il y ait une véritable raison, sa devait seulement être le résultat du choc, et des évènements des derniers jours mélangés à ma fatigue, rien de plus...
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MessageSujet: Re: Expérience en détresse !   Expérience en détresse ! Icon_minitime

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